geogle statistiques

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/03/2009

ENSEMBLE REAGISSONS POUR UNE FRANCE INDEPENDANTE

ELECTIONS EUROPEENNES 2009

Par votre vote le 7 juin 2009, vous aurez entre vos mains, le destin de la France.

Pour mettre un terme à la supranationalité, à l'ultra libéralisme de l'Union Européenne et de la Commission de Bruxelles qui ont pour conséquences

l'augmentation du chômage,

l'aggravation de la misère,

la désindustrialisation de la France voulue par l'Union Européenne à travers le traité de Maastricht ainsi que celui de Lisbonne que l'on veut nous imposer.

C'est pourquoi je vous invite à lire attentivement les propositions et l'alternative proposée en cliquant sur la photo ci-dessous.

Numériser0001.jpg

 

 

 

 

 

 Gaullistement votre

21/03/2009

DOGME DE L'EGLISE & REALITES SOCIALES

Dans mon bureau, il y a deux portraits de deux grands hommes qui ont marqué le XXème siécle. Il s'agit de Charles de Gaulle et de Jean Paul II.

Je m'attarderai simplement sur ce qui concerne lEglise.

Actuellement, son successeur, Benoît XVI est en Afrique, Continent aux multiples problèmes dont celui de graves maladies. Dans ses interventions, Benoît XVI a pris des positions que certains appellent dogmatiques mais surtout théologiques. Cela m'amène à plusieurs réflexions.

J'ai eu à plusieurs reprises sur ce blog à affirmer, en tant que catholique, à l'infaibilité du Pape. Néanmoins, il convient de regarder les phénomènes et les faits sociaux tels qu'ils se présentent dans nos sociétés modernes. 

D'abord, il faut rappeler : les positions papales sur le sida, sur l'avortement ne sont en autre qu'un rappel théologique de la Sainte Eglise Romaine Catholique. Le problème qui se pose aujourd'hui, dans les sociétés modernes, c'est que les religions et la religion catholique en particulier doivent mieux comprendre et adapter leurs messages au monde contemporain. Ce que je regrette de la position papale, à la différence de son prédécesseur, c'est qu'il semble ignorer les réalités sociales et ne comprend pas toujours les effets qui en résultent.

Personnellement, je ne suis pas philosophiquement favorable à l'avortement en tant que tel, car quoiqu'on en dise, il supprime une vie.

Toutefois, il y a a des réalités sociales que l'on ne peut ignorer. Le comportement de l'évèque du Brésil qui a excommunié la mére de cette jeune fille de 9 ans violée par son beau-pàre ainsi que l'équipe médicale, est pour moi un non-sens car il n'a pas tenu compte de la misère sociale, de la souffrance morale de cette famille. Il donne ainsi une mauvaise image de l'action chrétienne qui est d'abord la charité, et de comprendre la misère, la pauvreté comme l'ont fait à leur époque St Vincent de Paul, l'Abbé Pierre, par exemple. L'Eglise se doit d'abord d'avoir de la compassion et non de la condamnation.

Je ne rentrerai pas dans le jeu de certains médias qui profitent de cette occasion pour "taper du sucre" sur le Saint-Père, ceci d'autant que je suis très attaché à l'Eglise de Rome ce qui ne m'empêche pas d'être un laÏc républicain très soucieux  de la séparation de l'Eglise et de l'Etat, que ce soit sur le plan institutionnel ou politique. Je fais mienne la formule du général De Gaulle " Les Français sont catholiques, la République est laîque".

Gaullistement votre

 

22/02/2009

LA FRANCE DANS L'OTAN CAPITULATION OU NON?

A travers trois spécialistes de la défense dont deux éminents hommes politiques, un débat est ouvert entre :

- la nécessité d'un débat de fond vu par Alain Juppe,

- du « Non à la France du Renoncement » de Nicolas Dupont-Aignan

- et l'inopportunité et l'inefficacité de ce retour de la France au sein des structures militaires intégrées de l'OTAN vues par Louis Gautier, ancien conseiller de Lionel Jospin de 1997 à 2002.

 Ces trois personnalités, se sont exprimées dans le Monde du 21 février 2009.

 

LE MONDE | 20.02.09 |

 

Débat

 Non à la France du renoncement !, par Nicolas Dupont-Aignan

 

ans en avoir dit le moindre mot durant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy a solitairement décidé le retour de la France dans le commandement militaire intégré de l'OTAN, dont l'avait sortie le général de Gaulle en 1966.

Il avance trois arguments, mais aucun ne résiste à un examen sérieux. En premier lieu, la disparition de la menace soviétique justifierait ce retour dans l'OTAN. Argument bien étrange : la fin du pacte de Varsovie aurait dû, au contraire et depuis longtemps, permettre la redéfinition de l'Alliance atlantique dans le sens d'une émancipation de la défense européenne, certes partenaire des Etats-Unis, mais non plus sous tutelle. Devant la commission de la défense à l'Assemblée nationale, mardi 17 février, MM. Morin et Kouchner eux-mêmes ont d'ailleurs reconnu "qu'il faut réfléchir à l'avenir de l'OTAN". N'est-il pas plus sage et plus logique de le faire avant le retour complet dans l'OTAN qu'après ?

Les circonstances ont bel et bien changé. Mais cela souligne l'audace visionnaire du général de Gaulle : l'émergence d'un monde multipolaire. Il serait donc complètement contre-productif pour la France, qui a vu juste avant tout le monde, de se renier, notamment face aux pays émergents trop souvent qualifiés d'adversaires par la doctrine américaine du "choc des civilisations". Notre pays verrait sa position internationale diminuée, il se priverait d'une carte maîtresse vis-à-vis du monde comme de ses partenaires européens.

Deuxième argument : il vaut mieux être à l'intérieur qu'en dehors pour peser sur les décisions. Mais le départ de la France de l'OTAN, en 1966, fut motivé par le refus répété des Etats-Unis de partager le pouvoir en son sein. Aujourd'hui, les choses ont-elles vraiment changé ? Exception faite de deux petits commandements secondaires promis par Barack Obama, rien ne permet de le croire, au contraire. Et lorsque Nicolas Sarkozy a décidé d'envoyer des renforts français en Afghanistan, il a voulu faire croire que cela permettrait d'infléchir la stratégie américaine dans ce pays : il n'en est rien et on s'enfonce chaque jour davantage dans un bourbier.

"JEU DE DUPES"

Enfin, ce serait le seul moyen de faire "l'Europe de la défense". Mais à quoi bon, si celle-ci doit être une simple succursale de l'OTAN en Europe, et non un instrument autonome de sécurité au service de sa propre vision du monde ? Et comment convaincre nos voisins, dont l'appartenance à l'OTAN est le prétexte à négliger leur propre effort de défense, de s'investir dans une ambitieuse coopération militaire dès lors que le principal pays moteur, le nôtre, renoncerait à son tour ?

Ainsi, le "jeu de dupes" diplomatique que dénonçait récemment Alain Juppé n'est-il qu'un des aspects de la normalisation atlantiste de notre pays qui, dans les faits, renonce. "La volonté qu'a la France de disposer d'elle-même est incompatible avec une organisation de défense où elle se trouve subordonnée", disait de Gaulle. Appliquez cette phrase, toujours pertinente, à l'actuelle politique présidentielle vis-à-vis de l'OTAN, et vous déduirez que l'acharnement de Nicolas Sarkozy à subordonner notre pays aux Etats-Unis signifie son renoncement à une France ayant la volonté et la capacité à disposer d'elle-même sur la scène internationale.

Preuve indiscutable, le chef de l'Etat aborde ce retour dans l'OTAN après avoir, en 2008, imposé un Livre blanc qui prévoit, en cinq ans, une diminution drastique de notre effort de défense à 1,2 % du PIB (hors pensions et budget de la gendarmerie), soit très loin derrière la Grande-Bretagne et à peine au niveau de l'Allemagne qui, pourtant, assume des obligations opérationnelles bien moindres que les nôtres.

Cessons de tourner autour du pot : le débat n'est pas technique, mais idéologique. En réalité, Nicolas Sarkozy fait partie de cette droite férocement atlantiste, en complet décalage avec le sentiment profond du peuple français auquel Charles de Gaulle avait rendu sa dignité. "Mon pays ce n'est pas la France, c'est la France libre", disait Romain Gary. Pour moi, c'est clair : la France soumise n'est pas et ne sera jamais la France.

Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, président du rassemblement gaulliste Debout la République

Débat

Un débat de fond est nécessaire sur un choix qui engage l'avenir du pays, par Alain Juppé

La France a-t-elle intérêt à réintégrer, en 2009, le commandement militaire de l'OTAN qu'elle a quitté en 1966 ? La question n'est pas sacrilège. Nul ne sait comment le général de Gaulle y répondrait aujourd'hui. Sinon qu'il se déterminerait à la lumière du seul intérêt national.

Débat

Le retour dans le bercail atlantique est inopportun et inefficace

« Pour François Mitterrand, le retour complet de la France dans l'OTAN, se résumait à une formule : "Nous bougerons quand l'OTAN changera." Après 1995, Jacques Chirac tente une autre approche : "Nous allons changer pour faire bouger l'OTAN." Il conditionne, alors, la réintégration de la France au rééquilibrage de l'Alliance en faveur des Européens. Les Français réclament le commandement Sud. C'est un échec. Pour Nicolas Sarkozy : "Nous bougeons puisque l'OTAN ne change pas."

Louis Gautier, spécialiste des questions de défense, ancien conseiller de Lionel Jospin (1997-2002), professeur de science politique à Lyon-III.

Vous pouvez le constater, sans vouloir prétendre être un politologue de renommée, je me rejouis que, d'une part le débat est ouvert dans la société française et, que d'autre part, ces analyses certes plus poussées confortent mes convictions et analyses émises sur mon blog le 8 février dernier: "Conférence de Munich sur la Sécurité : une journée noire pour la France ou le renoncement de Nicolas Sarkozy"

Gaullistement Votre

 VIVE LA FRANCE LIBRE ET INDEPENDANTE

 

15/02/2009

Aujourd'hui 15 février, les Claudius sont empereurs de Lugdunum.

 Eh oui, aujourd'hui nous les Claudius, nous sommes à la fête. Mais qui sont-ils?

Je voudrais en introduction vous citer les «Observations sur le sentiment du beau et du sublime » de Kant, et celles d'Aristote dans « l'Ethique à Nicomaque » qui concerne l'amitié.

« Le sublime émeut, le beau charme » Si l'on prend également celles touchant à l'homme, « l'intelligeance est sublime, l'esprit est beau ».

 Cela peut il s'appliquer à tous les Claude? Qu'en pensez-vous?.

 Le second élément de mon introduction est celle qui touche à l'amitié définie par Aristote.

« L'amitié est une vertu, ou du moins, ne saurait aller sans vertu »

« Il n'est rien qui soit plus nécessaire à la vie : il n'est personne qui consentit à vivre privé d'amis, dut-il posséder tous les autres biens ».

C'est donc à travers ces deux citations que nous allons voir ensemble les princpaux caractères des Claude, à savoir :

Qui sont ils ?     Fins, délicats, raffinés, Claude, Claude et Charles-Henry sont pourvus d'une certaine aristocratie naturelle. Paraître, montrer l'exemple, être admiré leur plaisent. Ils ont de la volonté, sont disciplinés, ambitieux, autoritaires et pleins de vitalité... autant de cordes « solaires » à leur arc (ils appartiennent souvent au signe zodiacal du Lion!). Néanmoins, ils peuvent tomber facilement dans le culte de la personnalité : dans ce cas, ils tendront à être orgueilleux, arrogants et égocentriques. Le plus souvent sociables, communicatifs et généreux, Claude, Claude et Charles-Henry ont le geste large. Ils s'expriment facilement et savent se rendre sympathiques. Leur sensibilité est grande ainsi que leur intérêt pour autrui. Il faut éviter qu'ils soient enfants uniques, car ils se prendraient vite pour le centre du monde. Il serait conseillé de les faire adhérer à des groupes, dans lesquels ils pourraient acquérir un sentiment de solidarité. Par ailleurs, l'art et les langues sont des centres d'intérêt à encourager.

Qu'aiment-ils ?

Soucieux de leur image de marque, Claude, Claude et Charles-Henry sont attirés par ce qui brille et élève. Ce sont des esthètes. Idéalistes, ils aiment militer au sein de mouvements humanistes, artistiques ou sociaux. Ils recherchent souvent le contact avec le public et sont des voyageurs passionnés. Sentimentalement, ils se montrent exigeants avec leur compagne. Ils ont besoin de l'admirer et se montrent sensibles à son apparence. Maniaques et perfectionnistes, ils ont le sens de la famille et leur moralité est au-dessus de tout soupçon. Leur compagne pourra leur faire confiance. Leur savoir-faire, leur tact, leur délicatesse et leur sensibilité sauront faire passer leur autoritarisme.

Que font-ils ?

L'art, la créativité constituent pour eux la voie royale (professions tournées vers le théâtre, la littérature, la peinture, la décoration, l'orfèvrerie, l'artisanat...). Les activités indépendantes, à responsabilités et en liaison avec le droit, la justice, la politique ou la santé présentent également pour eux des attraits. Le domaine de l'audiovisuel ou celui des voyages peut constituer d'autres possibilités...

Source :http://www.signification-prenom.com/prenom/prenom-CLAUDE.html

Pour les futures mamans qui cherchent pour leur bébés, à la hauteur de leur bonheur, un prénom : CLAUDE.

L'intelligence étant une vertu tout comme l'amitié, il me semble et je suis sûr, vous en serez d'accord avec moi rien que de prononcer « Claude » par l'ensemble des habitants du 7ème doit à coup sûr, à défaut de l'imperium sur l'ensemble de Lugdunum, à l'excercer sur cet arrondissement. Qu'en pensez-vous?.

Sur ce « Ave, les Claudius, descendants des Romanus et des Caesarus » et vive......les tables claudiennes !.

 

12/02/2009

Pourquoi crise économique, pourquoi la crise du "politique"?

 Pourquoi crise économique?

En ce qui concerne la crise financière et économique, il est vrai qu'une bonne partie de cette crise est dûe aux phénomènes internationaux que l'on appelle mondialisation et dont on voie cruellement les limites aujourd'hui.

Concernant particulièrement la France, son problème est surtout structurel. Ce pays a besoin de réformes de l'Etat, d'allègement de structures dans les circuits économiques et surtout que « le politique » arrête de baisser le pantalon d'une part devant un Medef rétrograde qui n'en a rien à faire de la France et des hommes politiques, et d'autre part d'une Union Européenne qui écrase et veut supprimer les Nations.

 Il faut arrêter cette philosophie que ce sont les marchés qui règlent tout et que l'Etat n'a pas sa place.

Or, si la France s'en tire le moins mal c'est parce qu'elle dispose d'un Etat qui permet de réguler les abus de l'ultra libéralisme de Sarkozy dont lui-même, par la force des forces, a bien été heureux de s'apercevoir que ledit Etat se devait d'intervenir, pour sauver les banques et l'industrie automobile.

De plus, il faut arrêter une politique économique et sociale de nivellement par le bas comme le pratique le Medef. Ce ne sont pas les 35 h qui tuent l'économie, mais c'est surtout le fait d'une politique des bas revenus et d'une très mauvaise répartition de la richesse nationale. Je reproche au PR et à l'UMP qui le soutient de n'avoir qu'un langage, celui des banquiers, des grandes entreprises et jamais celui des travailleurs et des humbles. Je crains que cette politique et ce comportement politique n'aménent la France, droit dans le mur.

Faire de la politique, c'est savoir aussi se remetttre en question et ce n'est pas en laissant au sieur Lefevre, qui chaque fois insulte et méprise celles et ceux qui ne sont pas d'accord, y compris même au sein de l'UMP.

Ma culture gaulliste m'a appris qu'il faut non seulement voir grand pour la France mais respecter les Français dans leurs différences.

Pourquoi crise du "politique"?

A Lyon, la droite lyonnaise doit se remettre en question et balayer devant sa porte. Il serait bon que certains Elus UMP de Lyon et du Grand Lyon et non des moindres aient un peu d'humilité.

Lorsque l'on vient de se ramasser une « gamelle » électorale aux Municipales, affirmer dans des  exposés divers que les dépense de fonctionnement excessives, ce qui est fort possible, bloquent les investissements d'aujourd'hui et de demain, comment peux-t'on, alors expliquer que la gauche ait gagner 7 arrondissements sur 9, que Gérard Collomb ait été élu dès le 1er tour et que la droite ait perdu en 2007 deux Députés dans Lyon ?

Il serait temps que certains à droite, arrêtent de prendre la gauche pour des imbeciles, alors qu'elle sait gagner les élections......locales.

Voilà brièvement ce que je voulais dire car le problème est plus profond que cela. Il touche ce qu'est «la politique », « du politique » dans un monde complexe et dont le citoyen de plus en plus éclairé devient comme la dit Aristote " un animal politique".

 

23:23 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, lyon, grand lyon, crise, 35h, medef | |  Facebook | |