geogle statistiques

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/04/2012

AVEC DE GAULLE, L'HISTOIRE REJOINT LA MODERNITE

invalides,de gaulle,grands hommes,histoire de france,idéaux républicains Au moment où je regarde les clips de la campagne électorale, je suis scotché sur celui de François Hollande.

Et que vois-je, dans ce clip, ...le portrait du Général de Gaulle faisant référence à la création de la sécurité sociale.

Est-ce que le PS et François Hollande s'inspirent-ils du gaullisme?

Dans ce petit film, nous retrouvons également un rapide tour d'horizon de l'Histoire de France à travers ses fondamentaux républicains.

Aussi, il m'est apparu utile afin de faire une pose intellectuelle, de vous informer d'un spectacle à Paris, retracant les grandes heures d'un monument, haut lieu de notre Histoire, de ses grands moments et de ses grands Hommes : LES INVALIDES.

 

  source : invalides.org

 

 

Du 11 au 18 avril, Parisiens de souche ou de coeur, familles d'ici et d'ailleurs, tous à la Nuit des Invalides. Un magnifique spectacle son et lumière, en 3D vous enchantera.

 

Pour les infos pratiques, c'est ici

 

 

22/02/2009

LA FRANCE DANS L'OTAN CAPITULATION OU NON?

A travers trois spécialistes de la défense dont deux éminents hommes politiques, un débat est ouvert entre :

- la nécessité d'un débat de fond vu par Alain Juppe,

- du « Non à la France du Renoncement » de Nicolas Dupont-Aignan

- et l'inopportunité et l'inefficacité de ce retour de la France au sein des structures militaires intégrées de l'OTAN vues par Louis Gautier, ancien conseiller de Lionel Jospin de 1997 à 2002.

 Ces trois personnalités, se sont exprimées dans le Monde du 21 février 2009.

 

LE MONDE | 20.02.09 |

 

Débat

 Non à la France du renoncement !, par Nicolas Dupont-Aignan

 

ans en avoir dit le moindre mot durant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy a solitairement décidé le retour de la France dans le commandement militaire intégré de l'OTAN, dont l'avait sortie le général de Gaulle en 1966.

Il avance trois arguments, mais aucun ne résiste à un examen sérieux. En premier lieu, la disparition de la menace soviétique justifierait ce retour dans l'OTAN. Argument bien étrange : la fin du pacte de Varsovie aurait dû, au contraire et depuis longtemps, permettre la redéfinition de l'Alliance atlantique dans le sens d'une émancipation de la défense européenne, certes partenaire des Etats-Unis, mais non plus sous tutelle. Devant la commission de la défense à l'Assemblée nationale, mardi 17 février, MM. Morin et Kouchner eux-mêmes ont d'ailleurs reconnu "qu'il faut réfléchir à l'avenir de l'OTAN". N'est-il pas plus sage et plus logique de le faire avant le retour complet dans l'OTAN qu'après ?

Les circonstances ont bel et bien changé. Mais cela souligne l'audace visionnaire du général de Gaulle : l'émergence d'un monde multipolaire. Il serait donc complètement contre-productif pour la France, qui a vu juste avant tout le monde, de se renier, notamment face aux pays émergents trop souvent qualifiés d'adversaires par la doctrine américaine du "choc des civilisations". Notre pays verrait sa position internationale diminuée, il se priverait d'une carte maîtresse vis-à-vis du monde comme de ses partenaires européens.

Deuxième argument : il vaut mieux être à l'intérieur qu'en dehors pour peser sur les décisions. Mais le départ de la France de l'OTAN, en 1966, fut motivé par le refus répété des Etats-Unis de partager le pouvoir en son sein. Aujourd'hui, les choses ont-elles vraiment changé ? Exception faite de deux petits commandements secondaires promis par Barack Obama, rien ne permet de le croire, au contraire. Et lorsque Nicolas Sarkozy a décidé d'envoyer des renforts français en Afghanistan, il a voulu faire croire que cela permettrait d'infléchir la stratégie américaine dans ce pays : il n'en est rien et on s'enfonce chaque jour davantage dans un bourbier.

"JEU DE DUPES"

Enfin, ce serait le seul moyen de faire "l'Europe de la défense". Mais à quoi bon, si celle-ci doit être une simple succursale de l'OTAN en Europe, et non un instrument autonome de sécurité au service de sa propre vision du monde ? Et comment convaincre nos voisins, dont l'appartenance à l'OTAN est le prétexte à négliger leur propre effort de défense, de s'investir dans une ambitieuse coopération militaire dès lors que le principal pays moteur, le nôtre, renoncerait à son tour ?

Ainsi, le "jeu de dupes" diplomatique que dénonçait récemment Alain Juppé n'est-il qu'un des aspects de la normalisation atlantiste de notre pays qui, dans les faits, renonce. "La volonté qu'a la France de disposer d'elle-même est incompatible avec une organisation de défense où elle se trouve subordonnée", disait de Gaulle. Appliquez cette phrase, toujours pertinente, à l'actuelle politique présidentielle vis-à-vis de l'OTAN, et vous déduirez que l'acharnement de Nicolas Sarkozy à subordonner notre pays aux Etats-Unis signifie son renoncement à une France ayant la volonté et la capacité à disposer d'elle-même sur la scène internationale.

Preuve indiscutable, le chef de l'Etat aborde ce retour dans l'OTAN après avoir, en 2008, imposé un Livre blanc qui prévoit, en cinq ans, une diminution drastique de notre effort de défense à 1,2 % du PIB (hors pensions et budget de la gendarmerie), soit très loin derrière la Grande-Bretagne et à peine au niveau de l'Allemagne qui, pourtant, assume des obligations opérationnelles bien moindres que les nôtres.

Cessons de tourner autour du pot : le débat n'est pas technique, mais idéologique. En réalité, Nicolas Sarkozy fait partie de cette droite férocement atlantiste, en complet décalage avec le sentiment profond du peuple français auquel Charles de Gaulle avait rendu sa dignité. "Mon pays ce n'est pas la France, c'est la France libre", disait Romain Gary. Pour moi, c'est clair : la France soumise n'est pas et ne sera jamais la France.

Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, président du rassemblement gaulliste Debout la République

Débat

Un débat de fond est nécessaire sur un choix qui engage l'avenir du pays, par Alain Juppé

La France a-t-elle intérêt à réintégrer, en 2009, le commandement militaire de l'OTAN qu'elle a quitté en 1966 ? La question n'est pas sacrilège. Nul ne sait comment le général de Gaulle y répondrait aujourd'hui. Sinon qu'il se déterminerait à la lumière du seul intérêt national.

Débat

Le retour dans le bercail atlantique est inopportun et inefficace

« Pour François Mitterrand, le retour complet de la France dans l'OTAN, se résumait à une formule : "Nous bougerons quand l'OTAN changera." Après 1995, Jacques Chirac tente une autre approche : "Nous allons changer pour faire bouger l'OTAN." Il conditionne, alors, la réintégration de la France au rééquilibrage de l'Alliance en faveur des Européens. Les Français réclament le commandement Sud. C'est un échec. Pour Nicolas Sarkozy : "Nous bougeons puisque l'OTAN ne change pas."

Louis Gautier, spécialiste des questions de défense, ancien conseiller de Lionel Jospin (1997-2002), professeur de science politique à Lyon-III.

Vous pouvez le constater, sans vouloir prétendre être un politologue de renommée, je me rejouis que, d'une part le débat est ouvert dans la société française et, que d'autre part, ces analyses certes plus poussées confortent mes convictions et analyses émises sur mon blog le 8 février dernier: "Conférence de Munich sur la Sécurité : une journée noire pour la France ou le renoncement de Nicolas Sarkozy"

Gaullistement Votre

 VIVE LA FRANCE LIBRE ET INDEPENDANTE

 

08/02/2009

Conférence de Munich sur la Sécurité : une journée noire pour la France ou le renoncement de Nicolas Sarkozy

Oui à des alliances, non à l'intégration pour une France indépendante, hors de l'Otan.

Où en sont le PS et la gauche sur ce sujet?.

 « Nicolas Sarkozy, fossoyeur de la politique d’indépendance nationale du général de Gaulle

 
« Après avoir liquidé dans le dos des Français le référendum du 29 mai 2005, qui avait rejeté un traité affirmant pour la première fois une compatibilité totale entre la défense européenne naissante et l’OTAN, Nicolas Sarkozy tombe le masque en réalisant - selon le quotidien Le Monde daté du 5 février - la réincorporation unilatérale de la France dans le commandement militaire intégré de l’Alliance atlantique. »

Une fois de plus, NS vient de démontrer qu'il n'a pas la hauteur pour diriger la France. En réintégrant la France au sein des structures militaires intégrées de l'OTAN, il réduit à néant un demi-siècle d'indépendance de la France voulue par le Général De Gaulle, en matière de politique étrangère et de défense. Cela s'ajoute à la liquidation, dans le dos des Français du Réferundum de mai 20O5, allant ainsi une fois de plus contre la volonté du peuple. Même François Mitterand, auteur du « Coup d'Etat permanent » n'a osé toucher à ce qui a fait consensus auprès des Français de cette vision de la France

Par ce comportement, il trahit un électorat attaché à l'indépendance de la France et qui a voté pour lui.

Il est urgent que le peuple se réveille en sanctionnant ceux et celles qui se réclamment de lui et de sa politique lors des élections européennes de juin prochain. Votez pour ceux et celles qui vous semblent la plus proche mais surtout pas pour ceux et celles qui soutiendront la politique d'abandon de la France à la solde de américains.

Cette affaire sent le rousti, elle a pour but de faire payer par les Français la guerre engagée par les américains en Irak que la France a refusé, par la voix de Dominique de Villepin à l'ONU ovationné par ladite assemblée, sur la position de la France redonnant ainsi à notre pays une véritable grandeur d'esprit et de vision.

NS accélère ainsi le bourbier de l'Afghanistan dont on ne connait pas les limites, le sens réel de la guerre et surtout le coût humain et financier. Alors que notre pays se trouve dans une situation catastrophique en matière financière, économique et sociale, d'une désagrégation de l'Etat a tous les niveaux sans égal, un chômage grandissant dû à une politique ultra libérale amenant notre pays à la catastrophe, pratiquant une politique uniquement pour le Medef.

Je suis furieux du comportement d'une certaine droite sans envergure, arqueboutée sur un ultra libéralime décadant pour la France, désagrégeant l'Etat au plus haut niveau, un Président de la République disant tout et son contraire.

Ayant été 40 ans au RPR, jamais je n'ai vu notre pays dans un état de déliquescence et de désagrégation sociale comme aujourd'hui.

Pour nous gaullistes, ce début de quinquenat est une tâche noire pour la France.

Heureusement que des miltants UMP, comme Véronique Jouve (http://veronique.jouve.over-blog.com/) dont je tiens à saluer l'honneteté et la clairvoyance, et fort mal récompensées lors des dernières municipales, commencent à se poser des questions sur le chemin où est menée la France.

Cette politique d'abandon peut être arrêtée tout net mais pour cela, le peuple, dans ses diverses sensibilités, doit se resaisir.

Il en a l'occasion lors des élections européennes de juin prochain. Mais pour cela, encore faut-il que des partis politiques de tout bord, principalement à gauche mais pas seulement, prennent des positions claires.Soutiennnent-ils ou non cette politique d'abandon de l'indépendance de la France ?

Pour le Parti socialiste, dont son leader charismatique François Mitterrand, malgré sa vive opposition à De gaulle a maintenu la politique d'indépendance de la France, il doit se positionner clairement.

Mais aujourd'hui, je ne l'entends pas. Je souhaiterai connaître comme futur électeur des Européennes, quelle est sa position claire? Je veux pouvoir dormir tranquille la nuit , il y va de ma santé afin que je puisse bénéficier d'une très longue retraite !!!

 

 

22:43 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : de gaulle, de villepin | |  Facebook | |

09/11/2008

Le Gaullisme, toujours d'actualité ou l'ardente nécessité de redonner à l'Etat, sa véritable Puissance.

La crise financière et économique que traversent la France et les autres pays occidentaux viennnent donner une claque aux libéraux et ultra libéraux qui ont un mépris de l'Etat.

L'Etat, disposant de la violence physique légitime selon Max Weber, garant de l'intérêt général au service de la Nation et du peuple doit retrouver, dans un systéme centralisé qui seul lui donne la puissance, l'effectivité, l'efficacité, dans la mise en application des décisions et actions politiques.

Lorsque Le Général De Gaulle affirmait que "la politique de la France ne se faisait pas à la corbeille", on peut dire qu'avec les évènements récents, il fut un visionnaire et que son message - plus que jamais d'actualité - prouve que le politique doit avoir la primauté sur l’économique.

La France et son peuple, a besoin de repères et d'une vision politique : les principes exigeants du gaullisme doivent nous transcender dans nos réflexions, et dans nos actions au service de la Nation et du peuple.

Aussi, je vous invite à venir à la messe en sa mémoire, célébrée à la Basilique de Fourvière ce lundi 1O novembre 2008 à 17 h 30,