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26/10/2014

LE PAQUEBOT FRANCE COULE A NOUVEAU !

paquebot penche sous les flots.jpgLa distanciation entre le peuple et ses dirigeants s'accentue chaque jour.Il faut donc revenir aux fondamentaux que sont : la Nation, la souveraineté, l'Etat.

Une gauche en pleine déconfiture idéologique, une droite de plus en plus affairiste, ultra libérale et européiste, d'où cette réflexion : que devient la France et son peuple ?

Bien sûr, à droite comme à gauche et ailleurs, une minorité commence à ouvrir les yeux et à s'interroger sérieusement, comme par exemple, à Lyon, le député PS, Pierre-Alain Muet.

Cependant, si les interrogations de certains sont légitimes, ils ne se remettent toutefois pas en cause, en se posant la question, pourquoi et comment, nous en sommes arrivés là.

Pourquoi cela ne fonctionne t-il pas ? Parce que François Hollande a non seulement trahi le peuple, pire son propre électorat.

Que sont devenues les promesses de réforme du système bancaire, ainsi que devient la banque publique d'investissement, à quoi sert-elle réellement puisque les défaillances d'entreprises s'accentuent, et que la croissance n'est pas au rendez-vous ?

Les retraites chapeaux existent toujours, la réindustrialisation du pays, on attend toujours !

Le montant des pensions de retraites reste bloqué sur 2012/2013 tandis que l'augmentation des tarifs de l'énergie, elle continue de plus belle, tout comme celle de certains services publics (SNCF), sans oublier le matraquage fiscal de toute nature ...etc...

Enfin, bref, j'en passe et des meilleurs qui fait que, lorsqu'on trahit sa parole, la confiance n'est pas au rendez-vous et le peuple ne se reconnait plus dans la parole de ses dirigeants.

Rappelons-nous les précédents quand cela avait commencé, déjà en 1957 lorsque la France, lentement mais sûrement s'est dépossédée de sa souveraineté, donc de son indépendance pour se faire imposer des règles qu'elles ne matrisainet plus.Las, PA Muet ne veut pas voir la réalité que c'est l'UE qui impose sa propre vision libérale de l'économie, sa volonté de diriger les pays depuis Bruxelles une technocratie illégitime.En un mot, faire disparaître les Nations au profit d'organisation supranationales. Son analyse est basée uniquement sur le dysfonctionnement de la gouvernance de FH mais ne va pas jusqu'au bout de son analyse pour constater que l'on ne peut, in fine, compter sur l'Europe pour la solution des problèmes qui se posent à la France. Par là-même, il fait la politique de l'autruche en niant l'existence des nations.

Selon moi, le personnel politique doit faire son "aggiornamento" intellectuel et idéologique sur l'européisme ambiant.Il doit revenir aux fondamentaux qui ont fait la grandeur et la force de notre pays depuis Clovis qui sont la Nation, la souveraineté, l'Etat.

 

Gaullistrement indigné

Claude JEANDEL

 

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LA TRIBUNE propos recueillis par Ivan Best | 09/10/2014

P.A. Muet (PS) : "La gauche aura beaucoup de mal à se remettre de l'abandon de nos valeurs"

Député PS, vice président de la commission des Finances, Pierre-Alain Muet critique le grand écart de François Hollande, qui défend un soutien de la demande en Europe mais promeut en France une politique de l'offre.

Comment le gouvernement français devrait réagir face à la menace de sanctions européennes, concernant le budget 2015 ?

Nous n'avons pas à rechercher l'indulgence de l'Europe. Il faut affirmer que l'Europe s'est enfoncée dans la dépression à cause de politiques d'austérité complètement irréalistes. Ce qui est catastrophique, c'est qu'on réplique depuis trois ans les politiques menées dans les années trente. Si le gouvernement français considère qu'il doit ralentir fortement la réduction des déficits, c'est parce qu'il pense que l'Europe devrait faire de même.

Le cocktail de politique économique préconisé par Bruxelles, consistant en des coupes massives dans les dépenses -notamment au sud de l'Europe- , et des baisses de coût du travail, voire de salaire -en Europe du sud, aussi-, a enfoncé l'Europe dans la récession et la déflation (qui sévit actuellement dans les pays du sud).

Quand un pays agit seul, une telle politique peut donner des résultats, comme on l'a vu avec Schröder. Même s'il n'a d'ailleurs réduit les déficits que dans un second temps, après avoir fait les réformes en faveur de la compétitivité. Mais si Schröder a réussi, c'est parce qu'il a mené cette politique dans un contexte de croissance européenne.

En revanche, quand tous les pays mènent une telle politique d'austérité, le multiplicateur budgétaire est tellement élevé que les réductions de dépenses ne parviennent même plus à réduire le déficit, car, en face, les recettes s'effondrent. Quant aux baisses de salaires, si tout le monde les pratique, les gains s'annulent, mais ce qui ne s'annule pas, c'est la déflation.

Mais en l'occurrence, en examinant avec un regard très critique le budget français, la commission européenne ne fait-elle pas qu'appliquer les traités ?

Au lieu de critiquer la France, la commission européenne devrait s'excuser. Ce n'est pas à la France d'implorer l'indulgence de l'Europe, c'est la commission qui devrait s'excuser d'avoir mis l'Europe dans cette situation. C'est tout de même incroyable : on a trouvé le moyen de mettre l'ensemble da la zone euro en crise, alors qu'elle était moins endettée que les Etats-Unis !

En 2010, les pays les plus touchés étaient en train de réduire leur dette (Espagne, Irlande...) et on a laissé se développer une spéculation, stoppée seulement à l'été 2012 par Mario Draghi (BCE) : c'est le seul homme politique qui tient un discours raisonnable, car c'est le seul ayant une vision fédérale.

Ce qui se passe, c'est la négation de ce qu'a été l'Europe : quand l'Espagne, le Portugal, ont été intégrés, à la fin des années 70, l'Europe leur a permis de rattraper les pays du nord.

Cette intégration les a tirés vers le haut. Là, au contraire, pour la première fois de l'histoire de l'après guerre, l'Europe a tiré vers le bas tous les pays en difficulté. Ce avec des politiques identiques à celles menées dans les années 30, et avec la même conception : celle du triomphe des égoïsmes nationaux.

Pour être clair, quand on se trouve dans une dépression telle que celle que nous vivons aujourd'hui, les impératifs de réduction du déficit ne s'appliquent pas.

Ceux qui le disent le mieux, ce sont les anglo-saxons. Comme le souligne le New York Times, le marasme actuel n'a rien d'étonnant, il est simplement la conséquence des politiques menées. Le jugement de l'histoire sera terrible pour les politiques décidées pendant cette période, le jugement d'outre atlantique l'est déjà.

François Hollande n'a-t-il pas commis une erreur dès le départ, en axant son programme sur la rigueur, en programmant 30 milliards d'euros de hausses d'impôts?

J'étais favorable à la réduction des déficits, il fallait les réduire vite, pour arrêter l'hémorragie de la dette et pouvoir mener une politique plus facile après. Mais cette vision était trop française. Là où nous nous sommes trompés, c'est quand nous n'avons pas vu que tout le monde faisait la même politique. Nous n'avions pas pris conscience de la récession, des effets multiplicateurs (impact des restrictions sur l'économie) qui ont été très forts.Il fallait donc peut être ralentir la baisse des déficits, puisque tout le monde allait dans ce sens en Europe.

Nous pensions alors que l'Europe était en phase de reprise, alors qu'elle était sur la voie de la dépression, en raison de l'austérité généralisée, comme l'OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques) l'avait bien vu.


Comment appréciez-vous l'alignement de François Hollande sur les thématiques bruxelloises (coupes dans les dépenses publiques et réformes), alors qu'il évoquait pendant la campagne électorale une « réorientation de l'Europe » ?

Il manque une colonne vertébrale à la politique de ce gouvernement. Il a fini par perdre ses repères. Le discours du Bourget, c'était la bonne réponse à cette crise, semblable à celle de 1929 (elle a les mêmes origines, accroissement des inégalités et formation d'une bulle financière, qui finit par exploser).

La crise est identique à celles des années 30, et la politique décidée alors par Roosevelt reste la bonne réponse : régulation financière, séparation des banques, new deal, intervention en matière d'emplois, et réduction des inégalités via l'impôt.

Dès lors que l'on abandonne cette optique pour se concentrer sur l'offre, qui devient l'alpha et l'omega de la politique, on perd nos repères. Cela explique le drame actuel de la gauche. Redisons le : la politique actuelle n'est pas adaptée à la réalité, puisque le problème de l'Europe, c'est la chute de la demande.

Tout le discours sur la modernité du socialisme, qui consisterait à copier Blair et Schröder, tout ce discours est ridicule si l'on analyse vraiment cette période. La modernité du socialisme, ce n'est pas d'adapter nos principes de solidarité à une mondialisation libérale, qui a mis le monde ne crise. Il faut au contraire défendre notre modèle social.

Depuis cet été, François Hollande souligne aussi que l'économie de la zone euro est victime d'une demande trop faible...

Le discours a changé fin août, effectivement, et Hollande a reconnu l'existence d'un problème de demande dans toute l'Europe. C'est effectivement ce qu'il faut défendre, la position à adopter, dans les discussions européennes. Mais le chef de l'Etat dit aussitôt qu'en France, il va mettre en oeuvre une politique de l'offre. C'est un véritable grand écart ! On ne peut pas poursuivre cette politique basée sur un cocktail de coupes dans les dépenses et de pression sur les salaires qui a enfoncé toute l'Europe.

Ne peut-on pas parler de faiblesse de François Hollande dans les débats européens ?

Dominique Strauss-Khan aurait eu certes plus de poids. Au plus fort de la crise, il a convaincu l'ensemble des pays du monde qu'il fallait relancer. Il aurait pu convaincre l'Europe de changer son orientation de politique économique. J'aurais aimé que Hollande tape du poing sur la table, notamment sur la question de l'investissement : il y avait une contrepartie aux traités imposant la rigueur en Europe, c'est un plan d'investissement. Or rien n'a été fait, et personne, en tous cas pas le ministère français des Finances, ne s'est préoccupé du suivi.

Dans les réunions internationales, à l'OCDE, quand j'explique que notre situation est comparable à celle des années 30, les députés européens approuvent.

Les gouvernants sont, eux, embringués une machine inter-gouvernementale, qui s'apparente à un processus de fabrication des égoïsmes nationaux. Au lieu de se préoccuper de la situation de l'ensemble de l'Europe, chacun vient défendre son beefsteak. Du coup, on applique des politiques qui, individuellement, pourraient fonctionner, mais qui ; collectivement, sont absurdes.

Quand Angela Merkel dit « ce qui est bon pour l'Allemagne est bon pour l'Europe », c'est faux. La situation de l'Allemagne est très différente de celle du reste de l'Europe. Sauf à méconnaître ces différences ou à faire preuve d'un égoïsme incroyable, on ne peut pas dire que ce qui est bon pour l'Allemagne est bon pour l'Europe.

Que faudrait-il faire, aujourd'hui, en France ?

Il faut mettre en cohérence la politique nationale avec le discours européen. Il faudrait trouver un tout autre équilibre entre les coupes dans les dépense et allègements de charges qui ne donneront des effets qu'à long terme. 40 milliards d'allègements de charges, c'est trop, d'autant que ces allègements ont été mal évalués, mal calibrés, et leurs effets sont incertains.Et d'autant qu'ils sont financés par des coupes dans les dépenses. 50 milliards sur trois ans, c'est, là aussi, trop. Quand on s'engage sur de tels montants excessifs, on mène rarement des politiques intelligentes. C'est donner le pouvoir au chef de bureau de la direction du Budget plutôt qu'au ministre...

Les conséquences sont immédiatement visibles : à Lyon nous divisons par deux l'investissement public, c'est dramatique. Un des moteurs d'une relance, c'est l'investissement local. On se prive de cette possibilité.

Il faut donc moins d'allègements de charges en faveur des entreprises, moins de coupes dans les dépenses, et des baisses d'impôts supplémentaires pour les ménages. Les entreprises auront droit à 12 milliards en 2015, contre trois milliards pour les ménages, c'est déséquilibré.Je ne réclame donc pas une relance, mais moins d'austérité.

Mais le gouvernement insiste sur le maintien de son cap, la politique de l'offre...

Manuel Valls dit il faut accélérer la politique de l'offre pour sortir de la récession. C'est est une absurdité, on ne sort jamais d'une récession par une politique de l'offre. La récession tient d'abord à la chute de la demande. Cet aveuglement est terrible.D'autant qu'il entraîne d'une perte totale des repères, sur le plan idéologique. La gauche aura beaucoup de mal à se remettre de cet abandon de nos valeurs.

 

Source : http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20141009trib6f8...


 

 

18/05/2013

L'UDF GISCARDIENNE EST DE RETOUR : SON NOUVEAU PRESIDENT, FRANCOIS HOLLANDE

Tout comme Valéry Giscard D'Estaing, François Hollande issu du même formatage européiste préfère remettre à d'autres, le destin de la France et des Français.

 

Tout comme Giscard, il parait éloigné de la société française et montre ainsi une certaine incompétence dans le domaine économique et social.

 

Tout comme Giscard, le résultat commence, malheureusement pour les Français, à être catastrophique.

 

Tout comme Giscard, le début de sa présidence est molle et sans vision, parce qu'européiste et mondialiste mais aussi, il accélère le déclin de la France en donnant des pans entiers de souveraineté à des institutions supranationales non légitimes.

 

Tout comme Giscard, il préfère s'occuper du sociétal plutôt que de donner à la France une valeur de puissance, que ce soit dans l'économie, en politique étrangère et de défense ainsi qu'en matière culturelle.


En un mot comme en cents, il ne veut pas d'une France forte, indépendante pouvant porter une parole universelle.


Tout comme Giscard, il trahit son propre électorat, dans cette première année de quinquennat, enterrant ainsi un "socialisme à la française",


Revenant de la visite du nouveau marché de Gerland (angle J Jaurès/rue M Fourcade), comme tout citoyen, j'ai écouté la conférence de presse du Président de la République, ce jeudi. J'avoue que si j'étais sympathisant ou militant du PS, avant de me mettre une balle dans la tête, il vaut mieux prendre un bon calmant.


En effet, j'ai la vague impression, comme en Allemagne avec Schroeder, qu'il enterre façon 1ere classe les idées socialistes françaises et par là-même tout comme nos voisins, le grand risque pour le Parti socialistes est de ne plus être crédible sur la scène politique française qui fait que la parole politique n'a plus de sens pour les citoyens.


De quoi s'agit-il ?


Il a trahi non seulement son électorat mais en même temps ceux et celles qui ont voté pour lui en tournant le dos aux propositions faites aux Français il y a un an.



La réforme du système bancaire par la séparation du financier et du dépôt est quasiment morte et enterrée par l'exigence de Bruxelles qui ne veut pas en entendre parler et par les lobbies bancaires. La Banque publique d'investissement pour les PMI/PME est un flop. Où sont les fameux emplois aidés et générationnels? las c'est également le néant!

 

Le cumul des mandats, où en est-on, la peur des notables?


Mais surtout, ce qui est dramatique pour la France, c'est que nous avons un Président de la République, lequel avant d'organiser sa Conférence de Presse à Paris, va, la veille, à une vitesse TGV en demander l'autorisation et chercher des ordres auprès de Commissaires européens, n'ayant aucune légitimité. Rappelons que cette Commission est composée de 3/4 de corrompus et de lobbyistes anti-français.


Ce comportement de la part de François Hollande est une insulte à l'Histoire de la France et surtout à sa démocratie.

 

On ne gagne rien à être docile et à courber l'échine devant celles et ceux qui n'ont qu'un objectif : que notre pays ne joue plus sa propre politique à travers son message universaliste, issu de la Révolution française.


En fait, François Hollande remet le destin de la France entre les mains d'incompétents et de lobbies à vision mondialiste qui ne voient le monde qu'à travers l'exploitation de l'homme par l'homme pour le seul profits de multinationales sans visage.


Ce qui est dramatique dans cette affaire c'est que malheureusement, la France a dans une grande partie de sa classe politique et plus largement de ses élites, des incompétents mais aussi une mentalité de soumission. Je n'en veux pour preuve, ce matin, sur radio classique, j'ai entendu, à mon grand désespoir, Alain Juppé qui s'exprimait dans le même sens, "sautant dans son fauteuil bordelais, comme un cabri" Hollande a raison sur l'Europe. Drôle de vision gaulliste de la France, à supposer qu'il le fut un jour !!!


Le FN a un boulevard devant lui et beaucoup d'hommes et de femmes qui se disent de gauche risquent de payer très cher ce comportement d'avachis vis à vis du concept d'une Europe fédérale.


Malheureusement, cela est dans la nature des choses, compte tenu de leur formation, de leur incompétence mais surtout de leur esprit matérialiste, notabiliste de l'action publique et de perte de sens et de vision. Pour une grande partie de l'élite politique française aujourd'hui, c'est d'abord, tant sur le plan national que local une affaire alimentaire et non pas celle d'idées et de convictions et celle de servir le peuple, pour l'intérêt général.

 

Je pose la question, où va le Parti socialiste aujourd'hui, le parti de Jaurès et de Blum,qui quoiqu'on en dise a une belle histoire?


Que veut-il, où va t-il? Quelle est sa vision de la France et du peuple?


Visiblement, les membres du PS préfèrent le Bd des Belges à Vénissieux, et à la Duche !!!


Par ce comportement, il donne la soupe au FN qui n'attend que cela. l'Histoire l'a démontrée : l'extrême droite italienne avec Mussolini, allemande avec Hitler, française avec Pétain ont pris le pouvoir avec celles et ceux qui furent abandonnés par des partis dit progressistes. Ainsi, on réchauffe les plats. Le Parti socialiste, mais aussi la droite et le centre auront une lourde responsabilité historique de leur irresponsabilité d'avoir abandonné le destin de la France et de son peuple à ceux qui veulent la détruire.


 

Gaullistement indigné

Claude JEANDEL









06/05/2013

BAYROU OU L'ILLUSION DU POUVOIR ET LE REVE S'EN VA !

france,bayrou,mélenchon,vème république,union nationale,europeAvec tout le respect que je lui dois, François Bayrou n'a toujours pas compris que les fondamentaux de la Vème République permettent la stabilité politique qui veut que, lorsque le Président de la République et son Gouvernement disposent d'une majorité absolue, il n'est point besoin d'une vieille chimère, répétée depuis des années par les nostalgiques de la IV ème république et de ses magouilles : un gouvernement d'Union nationale.

C'est ignorer l'histoire des combats politiques depuis la Révolution.

En France, le débat politique est, "cristallisant" ce qui veut dire, en autre, partisan.

M Bayrou et d'autres doivent m'expliquer comment un Mélenchon avec ses balais, portés de la Bastille à la Place de la Nation, va t-il vouloir partager le pouvoir avec son esprit stalinien avec l'UMPS, et les centristes qui ne savent plus très bien où se trouve le centre et des gogos de tout poil qui se prennent pour des politicards éclairés.

En fait, tout ce beau monde n'a qu'une même idée, c'est de se mettre à genoux, avec l'aide de certains médias, pour la plupart européeistes à tout crin, devant le dictat de la commission de Bruxelles les empêchant de mener une politique voulue par le peuple français dont malheureusement souvent, les élites politiques tout comme François Bayrou s'en "torchent le derrière" (ex : le Traité de Lisbonne).

Bayrou et les autres, c'est bonnet blanc et blanc bonnet !!!

Il ne faut rien attendre d'une pseudo Union nationale qui ne serait, en fait, que de faire avaler les couleuvres européennes ultra libérales.

La seule démarche politique qui vaille, c'est d'abord, virer tout ce beau monde et remettre à la tête de la France des hommes et des femmes compétents, non trempés dans des magouilles financières et surtout qui respectent le peuple français, notamment quand il s'exprime par référendum et autres élections.

L'UMPS et Bayrou, même combat !!!

Un gaulliste indigné

Claude JEANDEL

 

07/06/2012

LEGISLATIVES 2012 : DEBOUT LA REPUBLIQUE EST PRESENT AUSSI A LYON

Ce dimanche 10 juin, il faut aller voter pour le 1er tour de ces législatives 2012. Ce premier tour est l'occasion de pouvoir faire son choix et donc d'exprimer une volonté politique.

Venant de regarder les infos à la télévision ce soir, c'est à travers un reportage que l'Espagne qui tenait la vedette. Dans quel état se trouve ce pays, comme d'autres par la faute de ce Traité de Maastricht qui ne voit l'Europe qu'à travers des aspects purement financiers où les institutions sont à la solde des multinationales et non des peuples qui composent les nations du continent européen.

Dans la 1ere circonscription du Rhône, j'ai pu assister au débat organisé par le Progrès, une excellente idée. Une fois de plus, j'ai pu constater que le personnel politique classique, au travers des trois principaux candidats, Michel Havard, Philippe Mérieu et Thierry Braillard qu'ils sont arcqueboutés dans leur idéologie européeiste et mondialiste, laxistes dans la vision économique.On ne peut dès lors, voter pour ce 1er tour pour ces responsables de la situation dans laquelle se trouvent les nations qui composent l'Europe.

Aussi, pour mettre un terme à leur action idéologique européeiste, il faut voter pour les candidats de Debout la République. (300 dans toute la France dont six dans le département du Rhône).

maguy girerd.jpg

 

 

Dans la 1ere circonscription du Rhône, la candidate à vos suffrages est Maguy GIRERD dont vous trouverez ci-après le message-qu'elle a lu lors de ce débat.

 

 

« Je vous remercie de m’accorder ce temps de parole tout en regrettant que vous ne jugiez pas utile d’inviter au débat le nouveau parti que nous sommes.L’égalité de temps de parole des candidats n’est pas respectée à chacune des élections dans notre pays ce qui est un déni de démocratie.

Je suis MAGUY GIRERD candidate dans cette 1ère circonscription pour DEBOUT LA REPUBLIQUE, parti totalement indépendant, fondé il y a seulement 3 ans par le député maire NICOLAS DUPONT-AIGNAN, par ailleurs le maire le mieux élu de France des villes de plus de 30 000 habitants avec 80 % des voix au 1er tour pour son 3ème mandat. Preuve qu’il est dans l’action et non dans la posture.

Je me suis engagée à DEBOUT LA REPUBLIQUE car notre parti est la seule alternative entre ceux qui ont tout échoué depuis 30 ans et les extrêmes, chacun alimentant le système dont ils font tous partie.

La situation économique et sociale de la France est beaucoup plus grave et profonde que ce que l’on veut bien nous dire.

Cette crise n’est pas une fatalité, elle avait été prédite dès 1992 par Nicolas DUPONT AIGNAN et Philippe SEGUIN. Elle est la conséquence de politiques irresponsables qui ont abandonné le pouvoir à des technocrates et à la finance et qui nous font croire qu’il faut d’avantage de fédéralisme, alors que celui-ci signe le nivellement par le bas et la fin des démocraties.

Ne nous y trompons pas, nous sommes devant un choix de société.

COMBIEN DE TEMPS ENCORE LES FRANÇAIS VONT-ILS ACCEPTER :

 

  • Que nos emplois soient mis en concurrence avec l’esclavage humain

  • Que la BCE, qui a à sa tête celui qui a falsifié les comptes de la Grèce, prête à 1 % aux banques privées afin que celles-ci prêtent à leur tour aux états à 4, 5 voir 20%  ? Il faut savoir que sur 1 700 milliards de dette actuelle, nous avons déjà payé 1 500 milliards d’intérêts d’emprunt. Et l’Espagne a déjà remboursé sa dette 3 fois en intérêts d’emprunt. Et l’on demande toujours plus d’efforts aux peuples.

  • Comment peut-on d’accepter que l’on n’enseigne plus à nos enfants la lecture, l’écriture et l’histoire de leur pays

  • Que notre jeunesse est sans avenir et sans espoir

  • Que l’on n’applique plus les peines de prison ni le contrôle de nos frontières

  • Que nos services publics et la santé notamment partent en déliquescence

  • Que les intérêts particuliers priment sur l’intérêt général.

 

Ce ne sont pas les liftings ou les incantations des uns ou des autres totalement déconnectés des réalités qui résoudront les problèmes de la France.

A DLR nous avons une conception résolument moderne de la société et de la politique avec des femmes et des hommes neufs.

Nous proposons une refondation profonde de notre pays pour une France LIBRE ET FORTE dans une EUROPE DES PEUPLES ET DES NATIONS rassemblés.

Une Europe des coopérations avec nos voisins pour relever les grands défis industriels et technologiques de notre siècle.

Car, sans une refondation profonde de l’Europe sur le plan monétaire et financier nous ne gagnerons pas la bataille de l’emploi.

Et sans emploi, le reste n’est que conjecture.

MAGUY GIRERD le 4 mai 2012

 

Lyon, également à vos suffrages dans la 2ème circonscription , Mme Maud GELDREICH portera les couleurs de DLR

 

Gaullistement

Claude JEANDEL

 

 

09/05/2010

EUROPE : UNE TEMPETE PREVISIBLE. Ce n'est pas le même musique que la Sonate N°17 de Beethoven, dite "La tempête"

En ce 09 mai, jour de ma naissance, dès 18 h 45, vla t'y pas que dans mon sommeil profond, je suis réveillé par deux tempêtes distinctes.

Du coup; j'ouvre les yeux et m'aperçoit que ma vie future ne sera pas un long fleuve tranquille. Mais je sais aussi que la vie m'apportera du bonheur.

Pour quoi deux tempêtes?

  •   Il y a celle de Beethoven que j'aime beaucoup.

 

  •   Il y a l'autre que je n'aime pas du tout et qui provient «  d'un volapük invertébré sans âme que l'on appèle l'Europe ».

     

La première, celle de Beethoven apporte du bonheur à l'âme humaine. Elle est aussi à l'image du compositeur de génie, à savoir un esprit éclairé, tourmenté dans sa tête aussi fort qu'une tempête.

C'est vrai que j'adore ce génie de la musique et connaissant un peu sa biographie, je me reconnais dans certains de ses aspects, du point de vue du caractère. Il donne une image du bon côté de la culture de l'Europe en ce sens qu'il est allemand comme le sont Verdi pour l'Italie, ou Berlioz pour la France.

La seconde, provient de ce « volapük invertébré que l'on appèle l'Europe » et qui n'a rien à voir avec ce que le peuple français a voulu exprimer à plusieurs reprises : celle d'une Europe des Nations où chacune d'elles doit disposer de sa propre politique économique et monétaire, en autre.

Ce qui se passe avec la Grèce était prévisible, dès lors que dans le Traité de Maastricht, l'on mettait en place une machine de guerre contre les Nations qu'est la BCE, laquelle n'a aucune légitimité, trop indépendante de nos Gouvernants qui eux, ont la légitimité par la sanction du vote.

En réalité, « ce n'est pas la Grèce que l'on veut sauver mais l'Euro à tout prix ». Je rappelle que voici 18 ans, lors du débat sur le Traité de Maastricht, l'idéologie de l'euro était déjà à l'oeuvre, en promettant par cette pensée unique, le plein emploi, une Europe plus sociale, plus proche des gens. Non seulement, cela ne s'est pas produit mais tout le contraire : à savoir une pauvreté grandissante en France, un abaissement de nos Institutions, un parlement poltron et couché devant la finance mondiale, sans compter la désindustrialisation de notre pays. Ainsi, ici, à Lyon le projet du grand Stade en est une illustration flagrante où nos Elus cèdent au dictat du Président de l'OL et perdant ainsi leur propre notion de puissance qui sied à une Elu du peuple.

A la même époque, Philippe Seguin, dans son discours pour la France mettait en garde le pays contre l'aventurisme de la monnaie unique

« Dans le domaine monétaire, comme dans les autres, il faut se plier aux réalités. Il faut donc savoir ajuster les parités quand c 'est nécessaire, non pour faire de la dévaluation compétitive, mais pour éviter la déflation. En choisissant la monnaie commune au lieu de la monnaie unique, on choisirait, je crois, l'efficacité contre l'idéologie ».

Que voulait dire par-là, le visionnaire Philippe Seguin ?

Que chaque pays garde sa propre monnaie tout en ayant une monnaie de réserve qui servirait de régulation dans les échanges intra et extra communautaires. Tel serait le rôle de l'euro. L'efficacité de cette monnaie commune permettrait aux pays et à leur peuple de respirer.

En conclusion, je vous conseille pour votre âme

  •  d'écouter le bon côté de l'Europe, celui de sa culture : la témpête de Ludwig Van Beethoven,

 

  • d'ouvrir les yeux sur ce que l'on nous prépare, au nom de l'Europe : des mesures de rigueur qui une fois de plus profiteront aux financiers au détriment du bien-être des peuples qui composent les Nations européennes.

 

Revenons à la genèse des Etats-Nations. Pour cela, il faut militer pour la suppression de la BCE, la disparition de la commission et du Parlement européen.

Si l'on veut que l'Europe puisse avoir une lisibilité au sein du concert des Nations, elle ne pourra se faire qu'à travers 'une structure dite intergouvernementale composée uniquement des Présidents et Chefs de Gouvernement. Laquelle aurait simplement pour mission d'organiser des partenariats entre les pays qui la composent sur des projets d'avenir comme les grandes infrastructures par exemple.

En aucun cas, elle n'aurait autorisation d'une politique étrangère et de défense, lesquelles doivent rester de compétence nationale.

 

Pour une France indépendante,

Gaullistement

Claude JEANDEL

 

 

20:14 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : tempête, beethoven grece, bce, europe | |  Facebook | |