geogle statistiques

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29/08/2010

Roms, Gens du voyage, Français d'origines diverses : attention aux démons du régime de Vichy

Certes, la France ne peut accueillir toute la misère du monde comme disait M. Rocard et tout Etat a le droit de se prémunir en assurant la sécurité sur son territoire national.

Ce qui se passe actuellement dans notre pays devient dramatique car il y a un danger pour notre démocratie de la part d'un pouvoir au type de gouvernance de plus en plus autoritaire, anti-social, anti-culture et surtout un mépris de l'Etat.

Qu'est-ce qui fait qu'un pouvoir est puissant, donc efficace, agissant au nom de l'intérêt général?

Toute action politique, pour qu'elle soit effective ne peut être débattue démocratiquement, qu'avec le peuple, soit directement, soit indirectement au travers des institutions qui composent la République c'est-à-dire avec les Elus du peuple, mandatés par celui-ci, légitimés par la sanction du vote.

Ce qui pose problème aujourd'hui, c'est que les contre-pouvoirs ne fonctionnent pas bien. Or, pour une démocratie saine, selon Montesquieu, il doit y avoir un équilibre des pouvoirs qui donne ainsi à l'Etat la possibilité d'être efficace et ce que Max Weber appelle « la violence légitime de l'Etat ». Ainsi, l'ensemble des corps qui composent une société réunis sur un même territoire, partageant ensemble la même histoire, la même culture, le même esprit du sens du devoir envers son prochain, envers son pays, s'appelle la Nation.

La Nation française de part ses origines, de part son histoire a su montrer l'exemple de l'esprit d'ouverture envers d'autres cultures. Elle fut ainsi dirigée par des autrichiens, par un Italien(Mazarini) par un Ministre des finances suisse comme Necker, de grands artistes comme de grands scientifiques venus d'autres horizons que le sien ont fait la grandeur de la France : faut-il préciser que Pierre et Marie Curie, pères de l'atome sont venus de Pologne, tout comme Frédéric Chopin qui séjourna longtemps dans notre pays, ou de grands écrivains qui ont aimé la France comme Jean-Jacques Rousseau ou plus près de nous Ionesco ou Cioran. Ils ont ainsi été la lumière de la France dans sa vision universaliste des Droits de l'homme et du Citoyen.

C'est parce que, Athènes, ouverte sur le monde a gagné sur Sparte, qui se renfermait sur elle-même, que la démocratie l'a emporté.

C'est cet esprit de Nation ouverte et tolérante, ouverte sur le monde qui fait de la France, un pays singulier.

Quelle que soit la raison d'Etat, l'on ne peut mettre sur notre drapeau une tâche de honte comme l'a écrit Dominique de Villepin sans sa tribune au Monde, par des actions, des comportements qui ne sont pas dignes de ceux et de celles qui ont la charge et la grandeur de servir la France dans l'honneur. Tout citoyen de ce pays, quelle que soit sa conviction, sa religion, se doit non seulement d'être vigilant mais être un acteur pour le respect d'hommes et de femmes qui ne demandent qu'une chose : pouvoir vivre décemment.

L'on ne résout pas, par des incantations politiciennes, par une stratégie de l'attention permanente les problèmes de la misère sociale qui frappent ces hommes et ces femmes.

La démocratie, c'est d'abord le dialogue permanent entre toutes les composantes de la société et non je ne sais quelle manoeuvre pour se maintenir au pouvoir afin de protéger des intérêts personnels et/ou ceux de son propre clan.

De plus, je rappelle l'article 1er de la Constitution : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens, sans distinction d'origine, de race ou de religion. »

C'est donc au travers de ce comportement vis à vis de ces pauvres gens que notre Constitution est bafouée. Pire, sur la scène mondiale, la France est mise au banc des accusés.

Pour la première fois, un Pape devant la face du monde rappelle à l'ordre à nos gouvernants que tout homme et toute femme a droit, non seulement au respect de sa personne et que son problème soit résolu en toute humanité.

Je peux prendre comme analogie la question du pape Jean-Paul II « France, qu'a tu fait de ton baptême? » en la transposant sur une vision républicaine « France, qu'as-tu fait de tes fondamentaux républicains? »

La charité chrétienne est complémentaire de la solidarité républicaine. J'ai personnellement toujours eu ces deux sillons qui me guident, à savoir les valeurs républicaines dans ses notions de droit objectif et les valeurs chrétiennes dans ses notions de droit naturel, inaliénable à l'homme.

En stigmatisant systématiquement des catégories de personnes par leur origine, leur condition sociale, cela peut rappeler certains comportements sous le régime de Vichy qui a amené le désastre historique que l'on connait.

Il a fallu un grand Français dans ce qui a de plus noble, un grand républicain, pétri de culture française qui le 18 juin 1940, par un appel à Londres résista et appela à la résistance pour mettre fin, en autre, au régime oppresseur du peuple français : j'ai nommé Charles De Gaulle.

Accompagné de Jean-Sébastien Bach

Gaullistement vôtre

Claude JEANDEL

11/08/2010

JEUNES MUSICIENS COREENS AU CONSERVATOIRE DE LYON : le sentiment émeut, la beauté charme selon Kant

Logo Conservatoire Lyon Fourviere.jpgDu 03 au 11 août, le Conservatoire de Lyon sous l'égide de l'Académie Internationale de Musique de Lyon sous la directrice musicale de Rosa Park et Alain Jacquon, conseiller artistique, a accueilli de jeunes musiciens stagiaires de Corée du Sud.(le Progrès du vendredi 06 aout 2010)

Cette session, où les auditions des élèves furent publiques, ouvertes à tous, ainsi que les concerts donnés en soirée par les élèves et les professeurs m'ont permis ainsi d'assister à nombre de ces auditions ainsi qu'à l'ensemble des concerts.

Je félicite vivement les organisateurs, non seulement de cette initiative mais également de l'accueil qui m'a été réservé.

Pour moi, il faut que la musique, dite «  classique » aille vers le peuple qui en a grand besoin, particulièrement en cette période de crise.

Nous avons dans ce pays, un déficit d'une certaine culture musicale. Ma réflexion s'établira donc en deux phases.

 

1 / Ma vision culturelle et surtout pour la musique

 

  • La vision que j'ai de la culture et de la musique en particulier, me dit qu'il faut démocratiser la culture musicale à l'ensemble de nos concitoyens, dès le plus jeune âge et des initiatives comme celle-ci doivent s'élargir au grand public en allant à sa rencontre.

 

  • Ne faudrait-il pas que le Conservatoire de Lyon descende de la colline de Fourvière en allant à la rencontre des mélomanes et des futurs mélomanes, par exemple dans les salons des Mairies d'arrondissement et pourquoi pas dans les communes du Grand Lyon ? Cela permettrait aux élèves musiciens de s'exprimer et d'aller à la rencontre de tous les publics, même les plus inattendus. Par de telles initiatives, ces publics connaitraient ainsi mieux ces grandes institutions culturelles.

  

2 / Ma perception de l'ensemble de ces concerts, dans lesquels j'ai trouvé un bonheur à l'écoute des musiciens.

  

  • Personnellement, je ne connais aucune technique de la musique et encore moins le solfège.

 

  • Toutefois, j'aime écouter surtout, quand on croit pouvoir déceler quelques futurs virtuoses, particulièrement les pianistes et les violoncellistes qui m'ont beaucoup plus me permettant ainsi d'appréhender la musique et pourquoi pas, dire l'art musical. Mélomane, sans être musicien, j'ai pu apprécié la virtuosité des pianistes jouant la Sonata de Beethoven, Franz Liszt et Schubert.

  

Le bouquet final fut le concert des élèves sélectionnés, salle Debussy mardi 10 août

 

DAEUN                 Sonata Op2 N°2 1er mouv                                  L. Van Beethoven

 

DAOL                 Variations Abegg OP1                                          R.Schumann

 

HEEYOUNG        Concerto N°1 en Sol Majeur                                  W.A.Mozart

 

SEUNGHUY         Sonate pour arpeggione

                        et piano en la mineur D.821                                  F.Schubert

 

HAN  

SOJUNG             Trio                                                                    Martinu

HYUNGKYUNG

 

BOMIN                Rigoletto Paraphrase                                            F.Liszt

 

HAYOUNG          Tarentella Op33                                                    D.Popper

 

AYUKO               Passacaglia                                                           E.Dohnanyi

 

HYEONJI            Variation sur un thème de                                       J.Brahms

                         Paganini Op35 1er cahier

 

HYERYUNG          Fantaisie sur «  Der Freischutz »                            P.Taffanel

 

HANUL              Alborada del Gracioso                                             M.Ravel

 

JINYOUNG, SOJUNG      Beethoven – Ouverture / Andante                Ensemble

SUNJOO, DOH-HEE        Harry Potter                                               pour

SEUNGHUY, HAYOUNG   Over the Rainbow                                      7 Violoncelles

HANA

 

Ce bouquet final démontre ainsi, qu'une fois de plus, la musique est un langage universel. Elle repose l'âme, elle met en valeur les hommes et les femmes dans leur plus profonde expression, donnant ainsi à l'art musical toute sa profondeur.

Ces échanges interculturels font parti de la possibilité, pour la Francophonie dans ce qu'elle représente, à savoir la culture, la liberté, la tolérance, de donner à la France un esprit d'ouverture vers d'autres cultures.

Musicalement votre

Claude JEANDEL

 

 

 

16/07/2010

COOL ATTITUDE

 

Vagues mer.jpg

Aprés des neuronnes fortement sollicités en cette fin de printemps pluvieux....

ainsi que mon corps physique qui m'a permis de perdre quelques kilos, je vous conseille comme moi d'aller vers un horizon de grand large.........................

 

et de profiter de ce temps pour l'esprit, l'âme et l'oreille de la mélodie schubertienne

 

 

 

00:43 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : schubert | |  Facebook | |

04/07/2010

L'ELYSEE LE SPORT OU LA DERAISON POLITIQUE

 Guignol 3.07.10.gif

Regardant actuellement le match Allemagne/Argentine, je me dis, que décidément nous avons une partie de la classe politique jusqu'au plus haut sommet qui n'a plus le sens des valeurs Elle ne sait plus faire la différence entre l'accessoire et l'intérêt général.

Le comportement de NS ainsi que celui de notre Ministre des sports sans compter les médias qui en rajoutent n'est pas digne d'une Nation comme la nôtre qui, dans son histoire a éclairé le monde en fixant des idées universalistes et des grands principes qui doivent guider les Nations et les peuples.

Les propos de Denis Tillinac, parus dans Valeurs actuelles ne me font que confirmer qu'il est grand temps de donner un coup de balais.

 

Guignol à tous les étages

L’honneur de la France n’est nullement gagé sur l’infantilisme capricieux et vulgaire d’une poignée de mercenaires dont le comportement reflète avec une triste banalité celui des bandes dans les banlieues à problèmes, avec leur langage, leurs rituels, leurs accoutrements, leurs clanismes.

En misant sur des milliardaires sans vertu, au sens antique du terme, pour vendre leurs produits, les sponsors des Bleus acculent les jeunes à des identifications déplorables. En misant sur ces Bleus pour hâter l’improbable “intégration” des “minorités”, nos politiques se fourvoient.

L’euphorie du “Black-Blanc-Beur” consécutive au titre de champion du monde en 1998 a précédé de peu des émeutes d’une rare violence. L’équipe de France de foot était très bonne en ce temps-là, voilà tout, il ne fallait pas en tirer la moindre conclusion sur l’état des lieux banlieusards, ce fut juste une brève aubaine pour Chirac et Jospin qui glanèrent quel­ques points dans les sondages. Intoxiquées par l’ampleur délirante de la couverture médiatique du Mondial et soucieuses de s’y insinuer, Rama Yade et Roselyne Bachelot se sont démonétisées. Quand on allumait la télé et qu’apparaissait le visage bouleversé de notre ministre de la Santé et des Sports, on pouvait croire que les panzers de Guderian venaient de contourner la ligne Maginot. Or il s’agissait de bisbilles picrocholines au sein d’une équipe de garçons mal élevés, rien de plus. La simple menace, émanant d’une autorité vertébrée (Domenech, Escalettes, Bachelot ?), de priver définitivement les frondeurs de sélection eut suffi pour qu’ils cessent de jouer les cadors. Au lieu de quoi la guignolade, attisée par des médias inconséquents, a conduit Sarkozy à dévaluer sa propre autorité en exigeant des “états généraux du football”. Sic.

Comme si, au regard des problèmes qu’il affronte, les pitreries des Bleus pesaient aussi lourd qu’une décision d’Obama ou de Merkel. Pis : à la veille d’un G8 et d’un G20, et le jour même où des Français manifestaient en nombre, il a cru devoir recevoir Henry, dont la prouesse majeure aura été de commettre une tricherie inélégante. Ainsi, Sarkozy s’avoue totalement captif des emballements du système médiatique, alors qu’il aurait dû s’en extraire, et laisser le monde peu ragoûtant de nos stars à la ramasse grenouiller en vase clos. À l’extrême limite, il aurait pu s’autoriser un tête-à-tête avec Zidane, dont l’aura continue de planer au-dessus du bourbier. Personne d’autre ne méritait l’honneur d’un entretien avec le président de la République française. La “commission d’enquête parlementaire” qu’on nous promet, en guise d’épilogue, confirme l’incurie d’une classe politique piégée aussi bêtement qu’Anelka par la une du journal l’Équipe. Le patron de cet organe, que le civisme n’empêche sûrement pas de dormir, peut se targuer d’avoir donné le frisson à l’Élysée, au gouvernement et aux deux assemblées. Ubu règne.

Les Italiens, pourtant experts en farces et attrapes dans la sphère publique, et en accès d’hystérie dans la footballistique, nous administrent une leçon de dignité.
Leur équipe aura été aussi médiocre que la nôtre, elle a quitté la scène tels les chœurs après les prologues des tragédies grecques, mais les joueurs et leur entraîneur ont pris acte spontanément, sobrement et publiquement de leurs insuffisances, point final. Ils feront mieux la prochaine fois. Ou pas, ça n’a aucune importance, c’est juste un jeu avec un ballon. Puisse cette vilaine chronique de la bêtise ordinaire dissuader nos gouvernants de se fier à l’impact équivoque du sport de haut niveau, au motif que les modernes jeux du cirque font chavirer les imaginaires collectifs ! Rien de plus dangereux que de lâcher en pâture à la jeunesse de fausses idoles dégoulinantes de fric plus ou moins défiscalisé, et incapables d’assumer le tutorat que leur concède la folie mercantile. Folie ou cynisme, comme on voudra. En érigeant en modèle leurs mœurs, leurs appétences et leur style, on anéantit toute pédagogie et on promet à la France des lendemains de feu et de sang dans les cités.  Denis Tillinac

 

 

09:46 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

24/06/2010

Halle Frayssinet : des similitudes Historial Charles de Gaulle Dominique de Villepin

Le rebelle et l'espoir, telle est la philosophie que je tire de ce 19 juin 2010 à Frayssinet.

Source : http://2villepin.free.fr

Comme près de 6000 personnes présentes à la Halle Frayssinet, j'ai pu constater des similitudes et la confirmation, que le gaullisme c'est d'abord de regarder les choses en face et de dire la vérité aux Français.

Evidemment, dans une société où le politiquement correct est de rigueur, c'est être un peu rebelle que de ne pas entrer dans le système, mais c'est aussi la grandeur des Gaullistes d''être au dessus de la mêlée et de prendre date pour le service de la France.

Il me semble que Dominique de Villepin, par son comportement, est dans le droit fil politique et intellectuel, de l'homme du 18 juin.

J'ai pu le constater en visitant l'Historial Charles de Gaulle aux Invalides où nombre de similitudes sont flagrantes.

A savoir, une classe politique de bas niveau, un affairisme généralisé, une déliquescence de l'Etat, l'individualisme primant sur l'intérêt général, un endettement colossal, un déficit budgétaire abyssal, tel est l'état de la France aujourd'hui.

Il y a là similitude avec l'état de la France en 1940 lorsque le Général de Gaulle fut nommé sous-secrétaire d'Etat à la Défense par Paul Reynaud. On a vu la suite, l'appel du 18 juin. Aujourd'hui l'on peut dire qu'il y a, toute proportion gardée historiquement, un réveil en forme d'appel au sursaut de Dominique de Villepin.

Bien sûr, un long, long chemin est à parcourir. L'avenir dira si notre peuple, dans le tréfond de son âme saura entendre l'appel au sursaut.

L'histoire de notre Nation a toujours été jalonnée d'ombres et de lumière, puisse - ce 19 juin à Frayssinet - être le début de la lumière.

Plusieurs pistes sont proposées à notre peuple. D'abord, sur le plan institutionnel revenir à nos fondamentaux de la Vème République.

Comme le dit la Constitution de 1958, le Président de la République, parce qu'il a la légitimité du peuple est le garant du fonctionnement de nos Institutions, mais surtout est l'arbitre et le guide la Nation. Il fixe les principes généraux de la politique à mener. A charge au Gouvernement de l'appliquer sous la responsabilité du Premier Ministre, prévue par les articles 20 et 21 de la Constitution. Chaque ministre devant dépendre du Premier Ministre et non des conseillers de l'Elysée qui n'ont aucune légitimité populaire.

Sur le plan institutionnel toujours, doit se poser la réforme du Sénat. Personnellement, en avril 1969, j'ai voté la proposition faite par le Général de Gaulle. Je maintiens mon éternelle interrogation sur l'utilité d'une deuxième Chambre. Néanmoins, il faut reconnaître que le système actuel de notre Parlement, en l'occurrence le Sénat n'est plus adapté au monde moderne. En Angleterre, pays qui a inventé la démocratie parlementaire, il n'y a qu'une chambre qui détient le véritable pouvoir législatif : la Chambre des Communes.

Sur le reste des réformes à apporter à notre pays : économique, sociale, culturelle, elles sont nombreuses elles ne peuvent être que faites si en amont, l'on y associe les corps intermédiaires que sont les organisations syndicales, le mouvement associatif et l'ensemble de la société civile.

Dans le domaine de la politique étrangère, la France parce que c'est son histoire, sa vocation se doit d'avoir une politique indépendante, axée sur la philosophie gaullienne « entente, détente, et coopération ».

Elle doit être axée principalement, par le développement de la Francophonie vers l'Afrique, toute l'Afrique du Nord au Sud, vers les pays émergents.

Elle doit aider à la constitution d'un Etat palestinien à coté de l'Etat d'Israel dont la garantie de son existence doit être assurée par les grandes puissances internationales.

Telles sont brièvement les principales réflexions que j'ai retenu à Frayssinet car elles correspondent à la vision que j'ai de la France, c'est-à-dire, une France indépendante, exerçant sa pleine souveraineté dans le domaine de la politique étrangère, de sa propre politique économique, d'être seule maître de son destin au sein d'une Europe des Nations.

En visitant l'Historial Charles de Gaulle aux Invalides où je me suis attardé près de 3 heures au fil du cheminement de la vie du Général de Gaulle, j'ai pu constater combien l'Histoire se répète.

Et parce que c'est de l'ordre de la nature, la politique a horreur du vide tout comme les Nations. il faudra bien, un jour, que notre peuple se réveille et qu'il trouve au sein de son corps l'homme qui puisse non seulement lui rendre l'espoir mais surtout arriver à le mobiliser pour sortir de l'ombre et le conduire vers la lumière.


VIVE LA REPUBLIQUE !

VIVE LA FRANCE !


Gaullistement

Claude JEANDEL