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29/12/2011

PRESIDENTIELLES 2012 : une distanciation de plus en plus grande entre le citoyen et le politique

sondage la croix,bayrou,marine le pen,classe politique,classes populaires,classes moyennes,ump,psJe viens de prendre connaissance du dernier sondage effectué par le journal La Croix daté de ce jeudi 29 décembre 2011. Ce sondage appelle plusieurs remarques.

S'il confirme sur le fond, une distanciation de plus en plus grande entre le personnel politique et le citoyen, il comporte quelques ambiguïtés.

La première remarque est celle du score élevé de F.Bayrou (15%) alors que l'on ne connait pas encore son programme.

La deuxième est le score de 16% attribué à Marine Le Pen qui me paraît faible et ce d'autant, qu'il est en contradiction avec l'analyse des différents auteurs.

En effet, comment expliquer que celle-ci ne fait que 16% alors que dans l'analyse écrite, les auteurs s'accordent pour dire que seules les catégories sociales précaires se reconnaissent en elle parce qu'elle parle d'eux et de leurs problèmes quotidiens. Elle a surtout un langage clair, percutant qui est visible.

La communication politique pour être comprise doit être claire, simple et percutante, surtout dans un marché politique concurrentiel où il y a pléthore de candidatures.

Que je sache, les catégories sociales précaires représentent au sein de la société française près de 40% d'une population plus ou moins active en y incluant les classes moyennes, de plus en plus tirées vers le bas, ainsi que les retraités de plus en plus pauvres.

Il y a dans l'analyse de ce sondage une véritable dichotomie entre les contenus de l'article et le sondage lui-même puisque les auteurs insistent bien que ce sont les catégories précaires qui pensent que la candidate du FN leur parle le mieux . On pourrait synthétiser cela pour le citoyen lambda dans la formule : "elle me parle, je l'a comprends".

La troisième remarque démontre s'il en est, que la classe politique, n'a plus les moyens de son pouvoir, pour agir sur les évènements, étant donné qu'elle a perdu toute autorité sur les agents économiques du fait des transferts de souveraineté. Ainsi, elle dispose de moins en moins de pouvoir, elle est donc incapable d'offrir aux Français une alternative crédible. C'est pourquoi, ce personnel politique tente de démontrer, non seulement qu'il existe encore en ne parlant que des problèmes sociétaux dont les citoyens se foutent comme de leur première chemise. On peut prendre comme exemples le vote des étrangers aux élections locales, le problème de la terre pour des solutions à 1000 ans, ...etc...

De ce fait, ce comportement ne peut qu'éloigner le citoyen de ses élites et de la classe politique, surtout si dans le cas de l'UMP notamment,elle envoie des pittbuls arrogants, faisant preuve également d'un manque de culture flagrant avec des personnages comme Nadine Morano qui confond natalité et nativité. C'est vraiment ce qu'il ne faut pas si l'on veut intéresser les citoyens à la politique. Il me semble que l'UMP qui a des femmes et des hommes de valeur et de grande compétence devrait les mettre en avant, redonnant ainsi un lustre à la politique.

Concernant le PS, à vouloir être plus rose que rouge, il démontre également qu'il ne dispose pas aujourd'hui des éléments de réponses à la crise économique et à un vide politique.

En conclusion, on peut dire que la diversité de l'offre politique qui est importante puisqu'à ce jour, il y aurait une quinzaine de candidats à la présidentielle, démontre s'il en est qu'elle n'apporte pas de solutions mais surtout qu'il y a un abaissement qualitatif de la dite offre politique.

De plus, les structures politiques ne facilitent pas un renouvellement du personnel politique vers la qualité car celui-ci devient aujourd'hui un carriériste professionnel où le cumul des mandats, le maintien systématique des sortants aux diverses élections ne fait qu'accentuer l'installation d'une véritable oligarchie élective. Il en résulte ainsi que l'élite et le personnel politique français se parlent à eux-mêmes ce qui ne peut qu'amener une distanciation de plus en plus grande entre le citoyen et celui-ci.

Je vous souhaite à tous, mes vœux gaulliens de bonheur et de santé.

Pour la France, qu'elle se redresse avec le réveil de son peuple pour se réapproprier de nouveau la souveraineté nationale qu'il exerce au travers d'élections sanctionnées par le suffrage universel direct que nous a légué les Révolutionnaires de 1789, c'est-à-dire la République.

QUE VIVE LA FRANCE. QUE VIVE LA REPUBLIQUE

Gaullistement

Claude JEANDEL

 

21/12/2011

PERE NOEL, METS DANS TA HOTTE DU BONHEUR, DE L'ESPOIR POUR NOTRE PEUPLE, POUR LA NATION

 

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"Tout pouvoir ne peut être exercé que pour le bonheur de la Nation".

Ce texte des Cahiers du Tiers-Etat de Paris n'est plus que jamais d'actualité.

En effet, pour apporter le bonheur à la nation, donc au peuple, il est impératif que dans notre notre pays, le personnel politique arrête de se défausser de ses propres pouvoirs en les transférant à des institutions supranationales, non légitimes. 

Ainsi, je demande au Père Noël lorsqu'il descendra sur terre de secouer et de réveiller notre personnel politique afin qu'il réagisse sainement. Je demande au Père Noël d'apporter de nombreux cadeaux aux petits enfants qui n'ont plus de parents pour des raisons diverses, aux familles cabossées de la vie comme le disait Jean-Paul II, ainsi qu'à toutes celles et ceux qui en ont besoin et que les aléas de la vie n'ont pas épargnés.

il m'a demandé aussi ce que je voulais comme cadeau pour les  fêtes, alors je n'ai pas hésité, je lui ai dit que le seul  cadeau qui me ferait plaisir c'est qu'il prenne soin de la  personne qui lit ce message.

A votre tour, faites  suivre à toutes les personnes qui comptent pour vous. 

BONNES FETES A TOUTES ET A TOUS

Gaullistement

Claude JEANDEL

 

11/12/2011

SNCF : UNE FOIS DE PLUS, LE SERVICE PUBLIC SACRIFIE

train bleu.gifAu nom du libéralisme économique, une fois de plus le service public est sacrifié. Parce qu'elle doit s'adapter aux directives européennes de libéralisation et de concurrence accrues, la SNCF à travers ses changements d'horaires ne fait qu'accroitre la dégradation du service public.

Faut-il rappeler que c'est le Conseil National de la Résistance en 1945-1946 qui nationalisa les différentes sociétés et compagnies ferroviaires en une seule entité : la Société Nationale des Chemins de Fer français.

Non seulement le prix du Km ne fait qu'augmenter se répercutant sur le prix du billet mais de plus il se complexifie à outrance et le service, quant à lui se dégrade de jour en jour.

Disparaissent également des lignes jugées non rentables, de nombreuses gares de villes petites et moyennes, même rénovées pour certaines d'entre elles risquent la fermeture ou vont fermer, créant ainsi de nouveau un désert français.

Où est l'aménagement du territoire dans cet affaire ? Quelles sont les positions des régions concernées car celles-ci dans leurs attributions de compétences ont celle du transport régional à travers les TER, par exemple.

Outre ce big bang des horaires, il est temps de cesser de mettre en pratique ce que j'appelle l'arnaque des tarifs qui fait que, pour un même destination, un Lyon-Paris par exemple, il suffit de quelques minutes d'écart entre deux trains pour se voir infliger plusieurs dizaines d'euros supplémentaires sur le prix de son billet ! Ce comportement est un scandale de la part d'une entreprise dont la mission première est d'être un service public et d'appliquer l'égalité des tarifs pour un même trajet.

Il est grand temps que les usagers se réveillent quitte à occuper les voies s'il le faut et la SNCF doit revenir à ses fondamentaux qui ne doivent pas être la seule rentabilité et le commercial à tout prix mais le service rendu aux citoyens et usagers dans l'égalité des prix et des dessertes sur l'ensemble du territoire.

 

23:45 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : sncf, tearifs, gares, ter, service public | |  Facebook | |

27/11/2011

Dominique de Villepin : une rhétorique pseudo gaulliste, trahie par ses positions fédéralistes européennes

Belin Tour france 2 enfants.jpgComme je l'ai maintefois dit, Dominique de Villepin est un brillant intellectuel mais pas un grand politique, si j'en juge, une fois de plus par ce qu'il a dit sur BFMTV, ce dimanche, en ce qui concerne l'Europe particulièrement.

Il faut qu'il m'explique ces multiples ambiguïtés quand il parle de la nation française, de sa souveraineté alors qu'en même temps, il fait campagne pour une Europe fédérale en proposant une fusion du Président de la Commission et du Président du Conseil européen et qui serait élu au suffrage universel.

Or, il faut savoir comme on le dit en science politique que tout pouvoir doit avoir une légitimation et que celle-ci s'acquiert par le vote des citoyens. Ainsi, cette élection donne l'impérium à celui qui l'a reçue. En d'autres termes, l'élection au suffrage universel d'un Président d'Europe, c'est bien le début, non seulement d'un fédéralisme mais surtout la mise en perspective de la création d'une nation européenne.

Cela a pour conséquence logique, que les dirigeants des pays qui dirigent les Nations composant l'Union Européenne seraient dépouillés des pouvoirs fondamentaux et régaliens sur leurs propre territoires et deviendraient ainsi de simples petits gouverneurs sans grande envergure.

La boucle étant bouclée, les Nations disparaitraient.

Une fois de plus, la France est trahie de jour en jour par une classe politique, laquelle ne peut que mériter l'eau probe de son peuple qui devra se poser la question de l'utilité d'aller voter pour ce personnel politique qui n'aura plus aucun réel pouvoir.

Je suis très déçu sur le plan purement politique du comportement de Dominique de Villepin. Il est loin son discours à l'ONU sur la grandeur de ce vieux pays qu'est la France.

Il est urgent qu'une nouvelle génération d'hommes et de femmes politiques qui ont la foi comme sous la IIIème république en la République, à la patrie et à la Nation. Je recommande la lecture de « Le tour de la France par deux enfants » où deux petits Lorrains, André et Julien, à la recherche d'un oncle s'approprient le territoire non occupé en traversant le pays à la découverte de son histoire, de ses techniques, de sa diversité mais surtout le livre fut un hymne partisan pour la République, la patrie et la Nation.

J'ai la certitude que de grands Républicains comme Jules Ferry (Vosgien) Seyès, l'Abbé Grégoire doivent se retourner dans leur tombe en voyant ces hommes politiques de gauche comme de droite d'avoir honte d'être Français mais surtout de faire disparaître la Nation française au sein d'un «volapük invertébré sans âme que l'on appelle l'Europe ».


QUE VIVE LA REPUBLIQUE

QUE VIVE LA FRANCE ETERNELLE


Gaullistement

Claude JEANDEL



13/11/2011

L'UE : Un « machin » « volapük invertébré sans âme » contre les Nations, la Démocratie et les Peuples

ue,traité de lisbonnne,traité de maastricht,europe liberale,dette déficit budget 2012republique,franceDepuis le Traité de Maastricht en 1992, le personnel politique au plus haut sommet qui dirige notre pays montre, une fois de plus, son incapacité, son incompétence à régler les problèmes qui se pose à celui-ci. Il montre également son manque de vision pour le devenir de la France et d'une certaine Europe : l'Europe des Nations. De plus, par son arrogance et son mépris de celles et ceux qui ne veulent pas d'une Europe fédérale, il démontre non seulement qu'il n'est pas démocrate mais pire qu'il ne respecte pas l'expression du peuple par l'adoption du Traité de Lisbonne copie conforme du TCE, rejeté par une majorité de nos compatriotes.

Parce que l'Union européenne ne fonctionne pas, ce personnel politique là et une partie de l'élite économique et médiatique veulent imposer, sans consultation du peuple, une Europe fédérale qui enlèverait ainsi à toute nation qui compose le continent européen, sa souveraineté, son indépendance nationale et sa capacité à agir en toute indépendance.

On peut dire que depuis le traité de Maastricht, jamais les peuples qui composent les nations de l'UE n'ont autant subis les effets néfastes d'une politique ultra libérale et financière. L'Europe aujourd'hui, c'est la misère, le chômage, la décadence culturelle et morale et surtout une tentative d'autoritarisme politique empêchant les peuples de s'exprimer sur leur propre destin. Ainsi, les dirigeants européens préfèrent être « à la botte » des banquiers, des financiers et autres traders, et des agences de notations plutôt que d'écouter et d'entendre leurs propres peuples.

 

Ils ne traitent pas les problèmes de fond, ils préfèrent protéger leur propre système. En fait, c'est le système de gouvernance de l'Europe qu'il changer c'est-à-dire faire « péter le bordel » de cette Europe anti démocratique. Cela passe par la suppression de la Commission, de recentrer en limitant les attributions du Parlement européen. Seul, un organe inter-gouvernemental qui comprendrait les Présidents et Chefs de Gouvernement aurait pour objectif de traiter les grandes affaires du continent au travers de divers projets d'envergure européenne dans les domaines économiques, stratégiques, environnementaux sous la forme de partenariat.

 

Néanmoins, ne perdons pas de vue que la crise de l'UE est le résultat d'une gestion calamiteuse de chaque gouvernement et le nôtre n'échappe pas à la règle.

 

Pour la France, rappelons quelque faits. La présentation du budget 2012 est l'occasion d'analyser brièvement la situation financière et économique de notre pays. Et elle n'est pas très brillante, c'est le moins que l'on puisse dire : déficit persistant, dette accrue, cadeaux fiscaux aux plus riches, commerce extérieur en berne...

Si l'on regarde la loi de finance de 2012, on peut dire sans exagérer que ce budget est sans visibilité qu'il est construit au coup par coup, dans l'anarchie et pour tout dire, c'est un budget mort-né, compte tenu qu'en 2012, je crois qu'il y a des élections et quelqu'en soit le résultat, les prévisions émises ainsi que les décisions proposées seront quasiment caduques, et ce d'autant avec un euro instable.

Rappelons que l'endettement de l'Etat a explosé avec quelques 600 milliards d'euros. Entre 2007 et 2012, il approche le seuil dangereux de 90% du PIB, ce qui menace la croissance. Les prélèvements obligatoires ont repris leurs croissances ce qui fait que notre pays a les taux de prélèvements obligatoires les plus hauts d'Europe. De ce fait, il est tentant pour le Gouvernement de trouver un bouc émissaire : c'est la faute à la crise.

 

La crise a bon dos, cela n'explique pas la totalité du dérapage. Selon les calculs d'économistes de l'Institut de l'Entreprise, l'effondrement de la croissance n'explique que 40% de la dégradation des finances publiques entre 2007 et 2010 en y incluant le coût du plan de relance de 2008. Les 60% restant dépendent donc bien de choix de politique économique de la part du Gouvernement.

 

On peut dire, plutôt que d'essayer à colmater la brèche comme l'avait fait le tandem Villepin-Breton, Nicolas Sarkozy a de nouveau creusé le trou dès son arrivée à l'Elysée.

 

En conclusion, que pouvons-nous tirer de ces atermoiements du comportement des dirigeants à la tête des pays européens?

 

D'abord quoiqu'ils en disent, ce sont des incapables, arc-boutés sur leur idéologie ultra libérale et surtout pensant remettre à d'autres leurs propres responsabilités de leurs actions. En sautant comme un cabri sur leur fauteuil : «  L'Europe fédérale, l'Europe fédérale »!!!. Ils démontrent ainsi leur impuissance, leur incompétence, parce qu'ils ont transféré les éléments de puissance et de pouvoir à d'autres, non élus la plupart du temps. Il faut rappeler que le transfert de ces pouvoirs est donné à des institutions illégitimes et quI souvent prennent des décisions en faveur d'une classe sociale au détriment des peuples et des citoyens. Par leurs comportements, et la mise en place d'organes institutionnels non démocratiques, ils installent lentement mais sûrement une gouvernance autoritaire où les peuples ne pourraient plus s'exprimer.

 

L'Union européenne va devenir un « machin » autoritaire et fascisant et détournera les peuples qui composent cette Union de l'intérêt européen avec le risque de l'émergence de révoltes.

 

Gaullistement

Claude JEANDEL

 

QUE VIVE LA REPUBLIQUE, QUE VIVE LA FRANCE DANS UNE EUROPE DES NATIONS