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09/05/2009

9 MAI QUEL GRAND JOUR !!!

Le 9 mai, fut un jour important à Nancy.

nouveau-ne.jpgAujourd'hui, il est 18 h 10, et dans trente minutes en 1947 arrive les yeux ouverts, plein de gaité et de joie un beau bébé d'à peine 3 kg qui a pour prénom Claude-Michel.

Ainsi, par sa présence sur terre, il participe au renouveau et à la continuité de notre famille - nombreuse en Lorraine, notamment dans les Vosges et en Meuthe-et-Moselle.

Parait-il d'un caractère trempé comme celui des Lorrains et Alsaciens, certains disent même d'un mauvais caractère mais reconnu comme quelqu'un qui essaie d'avoir une certaine philosophie de la nature humaine.Comme dans toute nature, il y a  "du beau et du sublime".

Le sublime émeut, le beau charme selon le philosophe Kant.

Je ne vais pas vous faire une grande dissertation sur la distinction à faire de la nature des choses qui fait que l'homme se distingue de l'animal, des végétaux en ce sens qu'il a une âme comme le décrit bien Aristote dans son livre "de l'âme". Bien sûr, cela n'est qu'une vision rapide de la lecture d'Aristote mais de la vision naturelle qu'il se fait de l'homme à travers ses différentes composantes physiologiques, physiques et intellectuelles.

Vous pouvez le voir en cliquant ici, notre famille participe à la démographie galopante de la Région Lorraine. Ceci est dû à leur vitalité procréatrice, montrant par-là, leur puissance et leur pleine vigueur.

Ainsi, près de 2000 personnes sur 35 départements se nomment JEANDEL, principalement dans les départements Lorrains, mais pas seulement.

En conclusion, il est 18h35, j'arrive dans 10 minutes, depuis la Place Stanislas.... avec mes sabots...... Place Bellecour.

Et ce n'est qu'un début car comme Fontenelle j'ai bien l'intention de vous taquiner encore jusqu'à mon siècle d'existence.

 

19:27 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) | |  Facebook | |

16/04/2009

CULTURE FRANCAISE & FRANCOPHONIE EN DEUIL

Avec le décès de Maurice Druon, c'est la France, la francophonie et une certaine idée de la France qui est en deuil.

Avec Maurice Druon, une certaine idée de l"homme, de l'éthique politique et de la culture française dans ce qu'elle a de plus prestigieux perd un passé glorieux de notre histoire de France éternelle.

Honneur, honneur, à ce fils de France qui a servi et a éte pour le bien de son pays un grand serviteur de l'Etat et de l'homme tout simplement.

A travers Maurice Druon et beaucoup d'autres de ses compagnons, c'est une France debout, fière d'elle-même, ne niant pas son passé qui fait que notre Nation, aujourd'hui fait parti des cinq grandes puissances mondiales ayant un siège permanent à l'ONU.

En homme de lettre qu'il fut, de grande culture, amoureux et défendeur de la langue française et donc de la francophonie, fait qu'aujourd'hui celle-ci est représentée dans plus de 80 pays du monde.

C'est donc une page d'histoire de la France et de sa culture qui se tourne. Gageons que notre jeunesse actuelle et future puise ses repères et ses recherches au travers de ses oeuvres, de son action, dans une société contemproraine matiéraliste, affairiste, sans foi ni lois, ayant perdu tout contact d'une vision d'intérêt général et surtout d'un manque de perspectives sur le long terme.

Ayant été au service du général De Gaulle, le sauveur de la France libre comme résistant, il fut un grand serviteur de l'Etat notamment comme ministre de la culture sous la Présidence de Georges Pompidou. Comme tout gaulliste, il fut exigent pour lui-même comme il le fut au service de la France. Il fut donc un grand résistant car il mit en pratique la maxime du Général De Gaulle " il n' y a qu'un combat qui vaille, c'est celui de l'homme" en composant avec son oncle Joseph Kessel, le chant des partisants.

Que Dieu accueille dans son royaume ce fils de France qui a servi la Nation avec honneur et grandeur.

Gaullistement

Claude JEANDEL

29/03/2009

ENSEMBLE REAGISSONS POUR UNE FRANCE INDEPENDANTE

ELECTIONS EUROPEENNES 2009

Par votre vote le 7 juin 2009, vous aurez entre vos mains, le destin de la France.

Pour mettre un terme à la supranationalité, à l'ultra libéralisme de l'Union Européenne et de la Commission de Bruxelles qui ont pour conséquences

l'augmentation du chômage,

l'aggravation de la misère,

la désindustrialisation de la France voulue par l'Union Européenne à travers le traité de Maastricht ainsi que celui de Lisbonne que l'on veut nous imposer.

C'est pourquoi je vous invite à lire attentivement les propositions et l'alternative proposée en cliquant sur la photo ci-dessous.

Numériser0001.jpg

 

 

 

 

 

 Gaullistement votre

21/03/2009

DOGME DE L'EGLISE & REALITES SOCIALES

Dans mon bureau, il y a deux portraits de deux grands hommes qui ont marqué le XXème siécle. Il s'agit de Charles de Gaulle et de Jean Paul II.

Je m'attarderai simplement sur ce qui concerne lEglise.

Actuellement, son successeur, Benoît XVI est en Afrique, Continent aux multiples problèmes dont celui de graves maladies. Dans ses interventions, Benoît XVI a pris des positions que certains appellent dogmatiques mais surtout théologiques. Cela m'amène à plusieurs réflexions.

J'ai eu à plusieurs reprises sur ce blog à affirmer, en tant que catholique, à l'infaibilité du Pape. Néanmoins, il convient de regarder les phénomènes et les faits sociaux tels qu'ils se présentent dans nos sociétés modernes. 

D'abord, il faut rappeler : les positions papales sur le sida, sur l'avortement ne sont en autre qu'un rappel théologique de la Sainte Eglise Romaine Catholique. Le problème qui se pose aujourd'hui, dans les sociétés modernes, c'est que les religions et la religion catholique en particulier doivent mieux comprendre et adapter leurs messages au monde contemporain. Ce que je regrette de la position papale, à la différence de son prédécesseur, c'est qu'il semble ignorer les réalités sociales et ne comprend pas toujours les effets qui en résultent.

Personnellement, je ne suis pas philosophiquement favorable à l'avortement en tant que tel, car quoiqu'on en dise, il supprime une vie.

Toutefois, il y a a des réalités sociales que l'on ne peut ignorer. Le comportement de l'évèque du Brésil qui a excommunié la mére de cette jeune fille de 9 ans violée par son beau-pàre ainsi que l'équipe médicale, est pour moi un non-sens car il n'a pas tenu compte de la misère sociale, de la souffrance morale de cette famille. Il donne ainsi une mauvaise image de l'action chrétienne qui est d'abord la charité, et de comprendre la misère, la pauvreté comme l'ont fait à leur époque St Vincent de Paul, l'Abbé Pierre, par exemple. L'Eglise se doit d'abord d'avoir de la compassion et non de la condamnation.

Je ne rentrerai pas dans le jeu de certains médias qui profitent de cette occasion pour "taper du sucre" sur le Saint-Père, ceci d'autant que je suis très attaché à l'Eglise de Rome ce qui ne m'empêche pas d'être un laÏc républicain très soucieux  de la séparation de l'Eglise et de l'Etat, que ce soit sur le plan institutionnel ou politique. Je fais mienne la formule du général De Gaulle " Les Français sont catholiques, la République est laîque".

Gaullistement votre

 

22/02/2009

LA FRANCE DANS L'OTAN CAPITULATION OU NON?

A travers trois spécialistes de la défense dont deux éminents hommes politiques, un débat est ouvert entre :

- la nécessité d'un débat de fond vu par Alain Juppe,

- du « Non à la France du Renoncement » de Nicolas Dupont-Aignan

- et l'inopportunité et l'inefficacité de ce retour de la France au sein des structures militaires intégrées de l'OTAN vues par Louis Gautier, ancien conseiller de Lionel Jospin de 1997 à 2002.

 Ces trois personnalités, se sont exprimées dans le Monde du 21 février 2009.

 

LE MONDE | 20.02.09 |

 

Débat

 Non à la France du renoncement !, par Nicolas Dupont-Aignan

 

ans en avoir dit le moindre mot durant la campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy a solitairement décidé le retour de la France dans le commandement militaire intégré de l'OTAN, dont l'avait sortie le général de Gaulle en 1966.

Il avance trois arguments, mais aucun ne résiste à un examen sérieux. En premier lieu, la disparition de la menace soviétique justifierait ce retour dans l'OTAN. Argument bien étrange : la fin du pacte de Varsovie aurait dû, au contraire et depuis longtemps, permettre la redéfinition de l'Alliance atlantique dans le sens d'une émancipation de la défense européenne, certes partenaire des Etats-Unis, mais non plus sous tutelle. Devant la commission de la défense à l'Assemblée nationale, mardi 17 février, MM. Morin et Kouchner eux-mêmes ont d'ailleurs reconnu "qu'il faut réfléchir à l'avenir de l'OTAN". N'est-il pas plus sage et plus logique de le faire avant le retour complet dans l'OTAN qu'après ?

Les circonstances ont bel et bien changé. Mais cela souligne l'audace visionnaire du général de Gaulle : l'émergence d'un monde multipolaire. Il serait donc complètement contre-productif pour la France, qui a vu juste avant tout le monde, de se renier, notamment face aux pays émergents trop souvent qualifiés d'adversaires par la doctrine américaine du "choc des civilisations". Notre pays verrait sa position internationale diminuée, il se priverait d'une carte maîtresse vis-à-vis du monde comme de ses partenaires européens.

Deuxième argument : il vaut mieux être à l'intérieur qu'en dehors pour peser sur les décisions. Mais le départ de la France de l'OTAN, en 1966, fut motivé par le refus répété des Etats-Unis de partager le pouvoir en son sein. Aujourd'hui, les choses ont-elles vraiment changé ? Exception faite de deux petits commandements secondaires promis par Barack Obama, rien ne permet de le croire, au contraire. Et lorsque Nicolas Sarkozy a décidé d'envoyer des renforts français en Afghanistan, il a voulu faire croire que cela permettrait d'infléchir la stratégie américaine dans ce pays : il n'en est rien et on s'enfonce chaque jour davantage dans un bourbier.

"JEU DE DUPES"

Enfin, ce serait le seul moyen de faire "l'Europe de la défense". Mais à quoi bon, si celle-ci doit être une simple succursale de l'OTAN en Europe, et non un instrument autonome de sécurité au service de sa propre vision du monde ? Et comment convaincre nos voisins, dont l'appartenance à l'OTAN est le prétexte à négliger leur propre effort de défense, de s'investir dans une ambitieuse coopération militaire dès lors que le principal pays moteur, le nôtre, renoncerait à son tour ?

Ainsi, le "jeu de dupes" diplomatique que dénonçait récemment Alain Juppé n'est-il qu'un des aspects de la normalisation atlantiste de notre pays qui, dans les faits, renonce. "La volonté qu'a la France de disposer d'elle-même est incompatible avec une organisation de défense où elle se trouve subordonnée", disait de Gaulle. Appliquez cette phrase, toujours pertinente, à l'actuelle politique présidentielle vis-à-vis de l'OTAN, et vous déduirez que l'acharnement de Nicolas Sarkozy à subordonner notre pays aux Etats-Unis signifie son renoncement à une France ayant la volonté et la capacité à disposer d'elle-même sur la scène internationale.

Preuve indiscutable, le chef de l'Etat aborde ce retour dans l'OTAN après avoir, en 2008, imposé un Livre blanc qui prévoit, en cinq ans, une diminution drastique de notre effort de défense à 1,2 % du PIB (hors pensions et budget de la gendarmerie), soit très loin derrière la Grande-Bretagne et à peine au niveau de l'Allemagne qui, pourtant, assume des obligations opérationnelles bien moindres que les nôtres.

Cessons de tourner autour du pot : le débat n'est pas technique, mais idéologique. En réalité, Nicolas Sarkozy fait partie de cette droite férocement atlantiste, en complet décalage avec le sentiment profond du peuple français auquel Charles de Gaulle avait rendu sa dignité. "Mon pays ce n'est pas la France, c'est la France libre", disait Romain Gary. Pour moi, c'est clair : la France soumise n'est pas et ne sera jamais la France.

Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne, président du rassemblement gaulliste Debout la République

Débat

Un débat de fond est nécessaire sur un choix qui engage l'avenir du pays, par Alain Juppé

La France a-t-elle intérêt à réintégrer, en 2009, le commandement militaire de l'OTAN qu'elle a quitté en 1966 ? La question n'est pas sacrilège. Nul ne sait comment le général de Gaulle y répondrait aujourd'hui. Sinon qu'il se déterminerait à la lumière du seul intérêt national.

Débat

Le retour dans le bercail atlantique est inopportun et inefficace

« Pour François Mitterrand, le retour complet de la France dans l'OTAN, se résumait à une formule : "Nous bougerons quand l'OTAN changera." Après 1995, Jacques Chirac tente une autre approche : "Nous allons changer pour faire bouger l'OTAN." Il conditionne, alors, la réintégration de la France au rééquilibrage de l'Alliance en faveur des Européens. Les Français réclament le commandement Sud. C'est un échec. Pour Nicolas Sarkozy : "Nous bougeons puisque l'OTAN ne change pas."

Louis Gautier, spécialiste des questions de défense, ancien conseiller de Lionel Jospin (1997-2002), professeur de science politique à Lyon-III.

Vous pouvez le constater, sans vouloir prétendre être un politologue de renommée, je me rejouis que, d'une part le débat est ouvert dans la société française et, que d'autre part, ces analyses certes plus poussées confortent mes convictions et analyses émises sur mon blog le 8 février dernier: "Conférence de Munich sur la Sécurité : une journée noire pour la France ou le renoncement de Nicolas Sarkozy"

Gaullistement Votre

 VIVE LA FRANCE LIBRE ET INDEPENDANTE