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04/07/2010

L'ELYSEE LE SPORT OU LA DERAISON POLITIQUE

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Regardant actuellement le match Allemagne/Argentine, je me dis, que décidément nous avons une partie de la classe politique jusqu'au plus haut sommet qui n'a plus le sens des valeurs Elle ne sait plus faire la différence entre l'accessoire et l'intérêt général.

Le comportement de NS ainsi que celui de notre Ministre des sports sans compter les médias qui en rajoutent n'est pas digne d'une Nation comme la nôtre qui, dans son histoire a éclairé le monde en fixant des idées universalistes et des grands principes qui doivent guider les Nations et les peuples.

Les propos de Denis Tillinac, parus dans Valeurs actuelles ne me font que confirmer qu'il est grand temps de donner un coup de balais.

 

Guignol à tous les étages

L’honneur de la France n’est nullement gagé sur l’infantilisme capricieux et vulgaire d’une poignée de mercenaires dont le comportement reflète avec une triste banalité celui des bandes dans les banlieues à problèmes, avec leur langage, leurs rituels, leurs accoutrements, leurs clanismes.

En misant sur des milliardaires sans vertu, au sens antique du terme, pour vendre leurs produits, les sponsors des Bleus acculent les jeunes à des identifications déplorables. En misant sur ces Bleus pour hâter l’improbable “intégration” des “minorités”, nos politiques se fourvoient.

L’euphorie du “Black-Blanc-Beur” consécutive au titre de champion du monde en 1998 a précédé de peu des émeutes d’une rare violence. L’équipe de France de foot était très bonne en ce temps-là, voilà tout, il ne fallait pas en tirer la moindre conclusion sur l’état des lieux banlieusards, ce fut juste une brève aubaine pour Chirac et Jospin qui glanèrent quel­ques points dans les sondages. Intoxiquées par l’ampleur délirante de la couverture médiatique du Mondial et soucieuses de s’y insinuer, Rama Yade et Roselyne Bachelot se sont démonétisées. Quand on allumait la télé et qu’apparaissait le visage bouleversé de notre ministre de la Santé et des Sports, on pouvait croire que les panzers de Guderian venaient de contourner la ligne Maginot. Or il s’agissait de bisbilles picrocholines au sein d’une équipe de garçons mal élevés, rien de plus. La simple menace, émanant d’une autorité vertébrée (Domenech, Escalettes, Bachelot ?), de priver définitivement les frondeurs de sélection eut suffi pour qu’ils cessent de jouer les cadors. Au lieu de quoi la guignolade, attisée par des médias inconséquents, a conduit Sarkozy à dévaluer sa propre autorité en exigeant des “états généraux du football”. Sic.

Comme si, au regard des problèmes qu’il affronte, les pitreries des Bleus pesaient aussi lourd qu’une décision d’Obama ou de Merkel. Pis : à la veille d’un G8 et d’un G20, et le jour même où des Français manifestaient en nombre, il a cru devoir recevoir Henry, dont la prouesse majeure aura été de commettre une tricherie inélégante. Ainsi, Sarkozy s’avoue totalement captif des emballements du système médiatique, alors qu’il aurait dû s’en extraire, et laisser le monde peu ragoûtant de nos stars à la ramasse grenouiller en vase clos. À l’extrême limite, il aurait pu s’autoriser un tête-à-tête avec Zidane, dont l’aura continue de planer au-dessus du bourbier. Personne d’autre ne méritait l’honneur d’un entretien avec le président de la République française. La “commission d’enquête parlementaire” qu’on nous promet, en guise d’épilogue, confirme l’incurie d’une classe politique piégée aussi bêtement qu’Anelka par la une du journal l’Équipe. Le patron de cet organe, que le civisme n’empêche sûrement pas de dormir, peut se targuer d’avoir donné le frisson à l’Élysée, au gouvernement et aux deux assemblées. Ubu règne.

Les Italiens, pourtant experts en farces et attrapes dans la sphère publique, et en accès d’hystérie dans la footballistique, nous administrent une leçon de dignité.
Leur équipe aura été aussi médiocre que la nôtre, elle a quitté la scène tels les chœurs après les prologues des tragédies grecques, mais les joueurs et leur entraîneur ont pris acte spontanément, sobrement et publiquement de leurs insuffisances, point final. Ils feront mieux la prochaine fois. Ou pas, ça n’a aucune importance, c’est juste un jeu avec un ballon. Puisse cette vilaine chronique de la bêtise ordinaire dissuader nos gouvernants de se fier à l’impact équivoque du sport de haut niveau, au motif que les modernes jeux du cirque font chavirer les imaginaires collectifs ! Rien de plus dangereux que de lâcher en pâture à la jeunesse de fausses idoles dégoulinantes de fric plus ou moins défiscalisé, et incapables d’assumer le tutorat que leur concède la folie mercantile. Folie ou cynisme, comme on voudra. En érigeant en modèle leurs mœurs, leurs appétences et leur style, on anéantit toute pédagogie et on promet à la France des lendemains de feu et de sang dans les cités.  Denis Tillinac

 

 

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24/06/2010

Halle Frayssinet : des similitudes Historial Charles de Gaulle Dominique de Villepin

Le rebelle et l'espoir, telle est la philosophie que je tire de ce 19 juin 2010 à Frayssinet.

Source : http://2villepin.free.fr

Comme près de 6000 personnes présentes à la Halle Frayssinet, j'ai pu constater des similitudes et la confirmation, que le gaullisme c'est d'abord de regarder les choses en face et de dire la vérité aux Français.

Evidemment, dans une société où le politiquement correct est de rigueur, c'est être un peu rebelle que de ne pas entrer dans le système, mais c'est aussi la grandeur des Gaullistes d''être au dessus de la mêlée et de prendre date pour le service de la France.

Il me semble que Dominique de Villepin, par son comportement, est dans le droit fil politique et intellectuel, de l'homme du 18 juin.

J'ai pu le constater en visitant l'Historial Charles de Gaulle aux Invalides où nombre de similitudes sont flagrantes.

A savoir, une classe politique de bas niveau, un affairisme généralisé, une déliquescence de l'Etat, l'individualisme primant sur l'intérêt général, un endettement colossal, un déficit budgétaire abyssal, tel est l'état de la France aujourd'hui.

Il y a là similitude avec l'état de la France en 1940 lorsque le Général de Gaulle fut nommé sous-secrétaire d'Etat à la Défense par Paul Reynaud. On a vu la suite, l'appel du 18 juin. Aujourd'hui l'on peut dire qu'il y a, toute proportion gardée historiquement, un réveil en forme d'appel au sursaut de Dominique de Villepin.

Bien sûr, un long, long chemin est à parcourir. L'avenir dira si notre peuple, dans le tréfond de son âme saura entendre l'appel au sursaut.

L'histoire de notre Nation a toujours été jalonnée d'ombres et de lumière, puisse - ce 19 juin à Frayssinet - être le début de la lumière.

Plusieurs pistes sont proposées à notre peuple. D'abord, sur le plan institutionnel revenir à nos fondamentaux de la Vème République.

Comme le dit la Constitution de 1958, le Président de la République, parce qu'il a la légitimité du peuple est le garant du fonctionnement de nos Institutions, mais surtout est l'arbitre et le guide la Nation. Il fixe les principes généraux de la politique à mener. A charge au Gouvernement de l'appliquer sous la responsabilité du Premier Ministre, prévue par les articles 20 et 21 de la Constitution. Chaque ministre devant dépendre du Premier Ministre et non des conseillers de l'Elysée qui n'ont aucune légitimité populaire.

Sur le plan institutionnel toujours, doit se poser la réforme du Sénat. Personnellement, en avril 1969, j'ai voté la proposition faite par le Général de Gaulle. Je maintiens mon éternelle interrogation sur l'utilité d'une deuxième Chambre. Néanmoins, il faut reconnaître que le système actuel de notre Parlement, en l'occurrence le Sénat n'est plus adapté au monde moderne. En Angleterre, pays qui a inventé la démocratie parlementaire, il n'y a qu'une chambre qui détient le véritable pouvoir législatif : la Chambre des Communes.

Sur le reste des réformes à apporter à notre pays : économique, sociale, culturelle, elles sont nombreuses elles ne peuvent être que faites si en amont, l'on y associe les corps intermédiaires que sont les organisations syndicales, le mouvement associatif et l'ensemble de la société civile.

Dans le domaine de la politique étrangère, la France parce que c'est son histoire, sa vocation se doit d'avoir une politique indépendante, axée sur la philosophie gaullienne « entente, détente, et coopération ».

Elle doit être axée principalement, par le développement de la Francophonie vers l'Afrique, toute l'Afrique du Nord au Sud, vers les pays émergents.

Elle doit aider à la constitution d'un Etat palestinien à coté de l'Etat d'Israel dont la garantie de son existence doit être assurée par les grandes puissances internationales.

Telles sont brièvement les principales réflexions que j'ai retenu à Frayssinet car elles correspondent à la vision que j'ai de la France, c'est-à-dire, une France indépendante, exerçant sa pleine souveraineté dans le domaine de la politique étrangère, de sa propre politique économique, d'être seule maître de son destin au sein d'une Europe des Nations.

En visitant l'Historial Charles de Gaulle aux Invalides où je me suis attardé près de 3 heures au fil du cheminement de la vie du Général de Gaulle, j'ai pu constater combien l'Histoire se répète.

Et parce que c'est de l'ordre de la nature, la politique a horreur du vide tout comme les Nations. il faudra bien, un jour, que notre peuple se réveille et qu'il trouve au sein de son corps l'homme qui puisse non seulement lui rendre l'espoir mais surtout arriver à le mobiliser pour sortir de l'ombre et le conduire vers la lumière.


VIVE LA REPUBLIQUE !

VIVE LA FRANCE !


Gaullistement

Claude JEANDEL



13/06/2010

18 JUIN 1940 : ESPOIR ET RENAISSANCE DE LA FRANCE

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 18 juin 1940, jour de renaissance de la France, de la reconquête de sa souveraineté nationale et du retour de la liberté.

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En ce 70ème anniversaire de l'appel d'un Grand Français : le Général de Gaulle, aura lieu, à Lyon, une cérémonie -ce vendredi 18 juin 2010 à 17 h 00 - Place Charles de Gaulle en présence des plus hautes autorités civiles et militaires.

Nous vous invitons à venir nombreux à assister à cette cérémonie.   

 

A l'Appel entendu du Général de Gaulle, des Français rejoignirent Londres. Parmi eux, Jean Moulin, Préfet, unificateur de la Résistance, trahi et qui mourut des suites des tortures endurées.

 

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Ces cendres furent transférées au Panthéon en  décembre 1964 et celles d'André Malraux qui lui rendit un si vibrant hommage, en novembre 1996

09/05/2010

EUROPE : UNE TEMPETE PREVISIBLE. Ce n'est pas le même musique que la Sonate N°17 de Beethoven, dite "La tempête"

En ce 09 mai, jour de ma naissance, dès 18 h 45, vla t'y pas que dans mon sommeil profond, je suis réveillé par deux tempêtes distinctes.

Du coup; j'ouvre les yeux et m'aperçoit que ma vie future ne sera pas un long fleuve tranquille. Mais je sais aussi que la vie m'apportera du bonheur.

Pour quoi deux tempêtes?

  •   Il y a celle de Beethoven que j'aime beaucoup.

 

  •   Il y a l'autre que je n'aime pas du tout et qui provient «  d'un volapük invertébré sans âme que l'on appèle l'Europe ».

     

La première, celle de Beethoven apporte du bonheur à l'âme humaine. Elle est aussi à l'image du compositeur de génie, à savoir un esprit éclairé, tourmenté dans sa tête aussi fort qu'une tempête.

C'est vrai que j'adore ce génie de la musique et connaissant un peu sa biographie, je me reconnais dans certains de ses aspects, du point de vue du caractère. Il donne une image du bon côté de la culture de l'Europe en ce sens qu'il est allemand comme le sont Verdi pour l'Italie, ou Berlioz pour la France.

La seconde, provient de ce « volapük invertébré que l'on appèle l'Europe » et qui n'a rien à voir avec ce que le peuple français a voulu exprimer à plusieurs reprises : celle d'une Europe des Nations où chacune d'elles doit disposer de sa propre politique économique et monétaire, en autre.

Ce qui se passe avec la Grèce était prévisible, dès lors que dans le Traité de Maastricht, l'on mettait en place une machine de guerre contre les Nations qu'est la BCE, laquelle n'a aucune légitimité, trop indépendante de nos Gouvernants qui eux, ont la légitimité par la sanction du vote.

En réalité, « ce n'est pas la Grèce que l'on veut sauver mais l'Euro à tout prix ». Je rappelle que voici 18 ans, lors du débat sur le Traité de Maastricht, l'idéologie de l'euro était déjà à l'oeuvre, en promettant par cette pensée unique, le plein emploi, une Europe plus sociale, plus proche des gens. Non seulement, cela ne s'est pas produit mais tout le contraire : à savoir une pauvreté grandissante en France, un abaissement de nos Institutions, un parlement poltron et couché devant la finance mondiale, sans compter la désindustrialisation de notre pays. Ainsi, ici, à Lyon le projet du grand Stade en est une illustration flagrante où nos Elus cèdent au dictat du Président de l'OL et perdant ainsi leur propre notion de puissance qui sied à une Elu du peuple.

A la même époque, Philippe Seguin, dans son discours pour la France mettait en garde le pays contre l'aventurisme de la monnaie unique

« Dans le domaine monétaire, comme dans les autres, il faut se plier aux réalités. Il faut donc savoir ajuster les parités quand c 'est nécessaire, non pour faire de la dévaluation compétitive, mais pour éviter la déflation. En choisissant la monnaie commune au lieu de la monnaie unique, on choisirait, je crois, l'efficacité contre l'idéologie ».

Que voulait dire par-là, le visionnaire Philippe Seguin ?

Que chaque pays garde sa propre monnaie tout en ayant une monnaie de réserve qui servirait de régulation dans les échanges intra et extra communautaires. Tel serait le rôle de l'euro. L'efficacité de cette monnaie commune permettrait aux pays et à leur peuple de respirer.

En conclusion, je vous conseille pour votre âme

  •  d'écouter le bon côté de l'Europe, celui de sa culture : la témpête de Ludwig Van Beethoven,

 

  • d'ouvrir les yeux sur ce que l'on nous prépare, au nom de l'Europe : des mesures de rigueur qui une fois de plus profiteront aux financiers au détriment du bien-être des peuples qui composent les Nations européennes.

 

Revenons à la genèse des Etats-Nations. Pour cela, il faut militer pour la suppression de la BCE, la disparition de la commission et du Parlement européen.

Si l'on veut que l'Europe puisse avoir une lisibilité au sein du concert des Nations, elle ne pourra se faire qu'à travers 'une structure dite intergouvernementale composée uniquement des Présidents et Chefs de Gouvernement. Laquelle aurait simplement pour mission d'organiser des partenariats entre les pays qui la composent sur des projets d'avenir comme les grandes infrastructures par exemple.

En aucun cas, elle n'aurait autorisation d'une politique étrangère et de défense, lesquelles doivent rester de compétence nationale.

 

Pour une France indépendante,

Gaullistement

Claude JEANDEL

 

 

20:14 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : tempête, beethoven grece, bce, europe | |  Facebook | |

01/05/2010

GRAND STADE A GERLAND : les Elus retoqués doivent se resaisir

Stade de gerland.jpgUne fois de plus, le projet de Grand Stade à Décines a ete retoqué par les commissaires-enquêteurs, nommés par le Président du Tribunal Administratif. Ils ont donc à la fois la compétence et la légitimité que leur donne la loi.

Une fois de plus, les politiques ont montré leur mépris de certaines institutions lorsqu'elles ne leur conviennent pas. Par là-même, ils refusent le fait démocratique qui veut que les citoyens puissent avoir raison et les élus se tromper.

60% d'absentions aux dernières élections est le résultat de ce comportement. A leur place, je ferai des lois qui interdisent au peuple de s'exprimer et qu'ils aient le courage de le dire, de le faire. Bref, de ces comportements, les citoyens que nous sommes en avons assez.

Ainsi, notamment, le comportement du député de la 1ére circonscription où se situe le stade historique de Gerland est inadmissible. Lequel, en tant qu'Elu de la Nation se doit de défendre l'intérêt général et non d'être du coté du foot et sport business. Nous lui demandons de se recader en ayant le même comportement que son collègue du Conseil Municipal de Lyon, Emmanuel Hamelin : celui de défendre les intérêts des Gerlandais, du 7éme arrondissement et bien sûr de Lyon .  

Ainsi, pour l'avenir nous saurons rappeler aux citoyens de la circonscription, lors des prochaines législatives d'ici 2 ans, si de sa part, il ne prend pas fait et cause pour le Grand Stade à Gerland. De ce fait, cela risque fort d'être son premier et dernier mandat de Député. Nous demandons qu'il prenne clairement position, avec son groupe au Conseil Municipal pour OUI LE GRAND STADE A GERLAND.

Nous en avons assez des Elus qui ne savent plus où ils habitent en ayant une vision de la politique purement économique et financière.

Nous le répetons : dans un pays où près de 17% de la population est en dessous du seuil de pauvreté, que des Elus de tout bord, y compris le PCF qui se veut le parti de la classe ouvrière, défendent d'abord les intérêts des nantis au détriment de nos concitoyens qui sont dans la misère, est contraire aux fondamentaux de la République.

A Gerland, par exemple, nous demandons depuis 15 ans, une médiathèque et l'on nous a suspendu la possibilité d'un gymnase à la Zac du Bon Lait.

Il y a là, deux poids, deux mesures, ce qui est scandaleux. 

 

Gaullistement

Claude JEANDEL